
Merci à tous ceux qui participent, le poème final sera publié à la une du JT de ce week-end


Bonne nuit les poètes. c'était sympa, au plaisir de vous lire à mon retour du taf ou a 12h00.
Posté 03 septembre 2009 - 10:57
Posté 03 septembre 2009 - 10:59
Posté 03 septembre 2009 - 11:06
Posté 03 septembre 2009 - 11:10
Ah! malheur à toute ma postérité!
pourquoi ai-je donné dans le sot métier,
Faire des vers devra-t-il tant m'en coûter?
Qu'il est heureux n'est-ce pas le savetier.
Posté 04 septembre 2009 - 06:49
Posté 04 septembre 2009 - 08:36
Posté 04 septembre 2009 - 08:53
Jusqu'Ã l'aube triste
qui verra barbeler
notre chant sinistre
pour la liberté
Posté 04 septembre 2009 - 08:56
tu veux que j'te passe ma cisaille ?
Posté 04 septembre 2009 - 02:29
fallait que ça rime, Paname,tu veux que j'te passe ma cisaille ?
au fait, Claire, tu sais pourquoi je viens de me raser ?
parce que barbelaid !
WOW, qu'elle est fine, celle-là !
c'est ma blague favoris, faut dire
allez, je r'prends le collier
et toi, ne prends pas la mouche, surtout...
et bas les pattes, si on te défrise la moustache !
biz
hirsute Paname
Posté 04 septembre 2009 - 03:48
Posté 04 septembre 2009 - 06:59
Posté 04 septembre 2009 - 07:44
Comme l'histoire est cocasse,
Figure toi que près d'un puits
J'ai croisé l'ombre de Bocacce,
Qui m'a dit : Tim me poursuit.
Je ne sais pas ce que je lui doit,
Moi qui suis d'une autre époque,
Mais Tim ne lui a pas laissé le choix,
Et a exigé de ce malheureux sa défroque.
Tu as écrit donc tu dois cotiser;
Il prélève aussi les antécédents;
On a vu Tite Live complètement traumatiser,
Qui sait combien il fut prolixe d'antan.
Posté 05 septembre 2009 - 08:43
Pauvre Verlaine, pas de peau,
Il est tombé sur le marquis enragé;
Non, il n'y a pas pire fléau,
Qui sévit dans les parages.
Qu'il trempe son fi-on dans l'eau glacé,
Une heure ou plutôt deux,
Avant que de nouveau ce carnassier,
Ne lui fasse goûter de son pi-eu.
Posté 06 septembre 2009 - 09:58
Sénèque m'a confié
Au sénat à Rome
Ce Tim est sans pitié,
Contre les vices de Sodome.
Non, non détrompes-toi
lui dis-je
Il laisse le choix,
Payer ou prendre sa tige!
Aie, aie, Crésus,
S'est exilé à Oniris,
Lui qui n'a pour Jésus,
Que mépris.
L'indigence du berger,
Lui donne de l'urticaire,
Lui qui se parfume au Fabergé,
Les aisselles et même le derrière.
Il est très délicat,
Pratique bien la so do mie,
Mais verser un ducat,
Pour ça, il dit nenni!
On dit c'est pas des histoires,
Qu'Apollon fut saisi par le collet,
Accusé et mis sur la liste noire,
Des paradis fiscaux par notre Récollet!!!
Qui peut échapper à cet homme?
Les missi dominici
Parcourent le royaume,
Aux cris de : Taxes, taxes, par ici!
Hésiode cette pédale,
Se plaint de ce traitement:
"C'est un scandale,
Je ne forniquerai pas avec ce tyran!"
Mais croyait-il le malheureux,
Qu'on lui en laisserait le choix,
Promptement saisi comme un gueux,
Il fut nu envoyé devant ce roi.
Ce prince qui lui dit :
Alors on sème la sédition,
Allons on verra pardi,
Si tu résistera à la question?
Hésiode y retrouva
Son ami Pindare,
Couché sur son matelas,
Le prit-anus en forme de jarre!
Tout au fond de la pièce obscure,
Anacréon et Aristophane,
Mêlaient leurs murmures:
"Ce gars est emmanché comme un âne!"