Le printemps dort, sous le givre de rosée,
dans le silence, des lueurs crépusculaires,
il rêve encore, de cet avril parfumé,
qui fait renaître, sa douceur préliminaire
Laurore danse, son boréal coloré,
dans les étoiles, que frissonne cet hiver,
le froid intense emplit la nuit de sa gelée,
et fait perler, ses beaux diamants imaginaires
Linceul si blanc, dun univers inachevé,
déroulent sans fin, une romance légendaire,
dans un frimas, dune blancheur immaculée,
couvrant la gloire du matin, de sa lumière
le bleu dazur trace les cimes, bien chargées,
dans les rayons, dune patience salutaire,
nous serons deux, de nos regards, à embrasé,
les premiers tons, de cette couleur printanière
Daniel
Avril deux mille huit
Débuté par Protoss, avril 12 2011 08:35
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