Tu m’effares à l’égal de l’ombre nocturne
Tu m’effares à l’égal de l’ombre nocturne,
Qui enfante en silence la clarté de l’aurore,
Tu m’effares à l’égal des jours, qui détournent
Toutes les apparitions furtives des météores
Reflétées sur le front limpide dune belle
Fadhila, qui, attirée par l’immensité bleue
Essaye sans cesse de battre les ailes,
Pour contempler dans les vastes cieux
Les astres en mouvement perpétuel
Graviter autour d’un magnifique soleil,
Qui alimente la sagesse éternelle
Dans les cœurs charitables et sans fiels
Des princes ayant trouvé leurs voies
Dans l’abysse de leurs pensées, la pureté
Et la pudeur dans l’aurore, quel que soit
L’écho réfléchi dans leurs esprits pondérés.
Dad Allaoua