[Et là le sucre, le miel, le fruit
de mon estime prend l’énergie fusionnelle de tous mes émois ;
laissez-moi,
Madame vous empruntez, une de vos opalines,
Pour pouvoir peindre votre porcelaine divine
représentant votre plus beau printemps.]
Quand tournesol clos la cime du cadran,
Que mortel songe membre en terre,
Sans silence rendu à l’âme,
En torche humide messagère,
Que les flammes éteignes sommeil,
Qu’à l’instant le temps publies ;
Quand pardonne le loup, la flèche,
Que l’herbe essence la fuite,
Sans empreinte de l’arche, poinçons ;
A défaut mérite rigueur,
Où bec ardent ne cigale,
En zèle du savoir, susceptible,
Pourtant interne vivace ;
Quand chien miaule corbeau,
Qu’aveugle est en jour,
Avec voix cogneuse aux murs,
Aux pinceaux en moelle,
Que la rançon pieuse ment,
Méprisant la pluie d’or ;
Quand l’aspiration se soupir,
Aux péché de sa guerre,
Qui résulte l’objet, dommage,
Que détenteur détente en tempe,
Avec frissons aux sang,
De l’avenir en tenaille,
Tu es :
Oh claire pureté, plus qu’azur d’été,
Lacrymale perlée en sucrière, baisé,
Douce grâce équilibriste richesse,
Finesse reliure, saison lumière,
trait de lys, encre de chine,
Chair mortelle divine,
Colombe première, flamboyante céleste,
Parchemin, héritage soie,
Bambou scellé du mont esprit,
Ruisseau sculpture coulant de source,
Réponse tantrique aux meurtrières,
Oxygène du vent, tremplin de bon-heur(re),
Le tronc musclé en vierge sève,
La paille dorée aux dents, prison,
La botte fourrée aux jambes battantes,
L’acuité féconde, sein d’esprit,
Femme, mère, amie
Humaine,
Providence Eden.
Jazzy Jazz copyright
