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Les carnets de ma cellulle.


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10 réponses à ce sujet

#1 roselapin

roselapin

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Posté 22 septembre 2007 - 03:46

Et bien moi qui je suis, n’attendez pas un quelconque intérêt dans les lignes qui suivent, car sachez que je peux refuser n’importe quoi, et n’importe quoi à tout moment veut dire que je peux refuser tout les intérêts. Je peux être Satan, Saint-pierre, un homme, un gamin, mon but final est de manger à ma faim et de dormir lorsque je le veux. Pour cela je ne vois que l’escroquerie. Il n’y a que l’escroquerie qui peut satisfaire mes besoins, bien que je doute qu’il n’y a que mes besoins qui peuvent me satisfaire. Au final, encore, je suis un logiciel, on pourrait m’appeler : « Lisez-moi et penser » ou bien « Lis-moi et réfléchi » et encore que je ne répondrais a l’appel de mon nom. Je n’ai probablement même pas de nom bien que celui-ci soit Alexis Gauthier. Mon seul nom est ma seule histoire. Et si vous tenez vraiment à savoir que j’existe, alors il faut me visiter, ici, à Montréal. N’attendez plus rien, je ne vais faire que parler de moi, maintenant, pour changer. Ho non je n’ai pas de génie, mon génie serait plutôt de ne pas en avoir, ou plutôt de le reconnaître la ou il n’est pas, ou la il est et c’est partout. Bon dieu, l’existence, l’existence mes amis est un phénomène quand même vachement intéressant, mais terrible pour les lopettes. Je suis une lopette qui a peur de tout. J’ai peur de la réalité, peur des gros chiens (tenez, un sale connard de gros chien m’a mordu une fois dans les sourcils (juste au-dessus de l’œil)) peur de la mort alors pourquoi moi je peux parler de la révolution. Moi qui ne tiens qu’a la vie par la peur ? C’est un véritable miracle si je suis encore vivant aujourd’hui, et ces miracles m’empêchent de retomber dans la mort. Bordel de zut je vais y arriver a la fin : Je ne peux croire en rien et même pas croire que je ne crois en rien ? Ce n’est pas horrible ça ? Hein, elle est belle l’existence, n’est-ce pas ? Toutes mes jolies questions qui n’en tiennent qu’a une seule. Et tout ça, ça me fait écrire. Oui puisque écrire c’est un peu vouloir être infini, un peu. Alors je vois bien que je ne peux devenir qu’escroc. Je ne peux que tromper tout le monde. Et si je ne peux que tromper tout le monde alors qu’est-ce que fais ici a part jouer, jouer, jouer à me contredire, jouer à jouer avec les autres. Ha oui il faut des bases solides, mais le jeu ne fait que détruire lorsqu’il se quitte pour en créer un autre. Je prends le rôle ou la place d’un autre, je porte son masque et je change le lendemain. Je suis un parfait bourgeois, un salaud exemplaire. Bon qu’est ce que ça me fout tant qu’il me reste des cigarettes et que mes parents envoient la thune. Si on est un salaud, autant être un salaud honnête. Mais alors je perds mon temps tout le temps, mais c’est bien parce que mon temps n’est pas précieux. Je vais finir suicidé comme dans toutes mes vies présentes, moi le nihiliste moderne. Je suis probablement pire qu’un bourgeois, il faut aller au fait. Mais un bourgeois qui n’existe que dans les autres. Je suis un trip en quelque sorte. Je vous l’ai dit : Satan ou Saint-pierre. Ho, vous allez me dire, mon pauvre vous avez une pauvre estime de vous-mêmes. Et que je réponds : Même pas, papa. Je ne sais même pas comment m’estimer, a part en écrivant et c’est probablement en écrivant que je me trompe sur mes estimations. Ou alors on peut se juger au travers des autres. J’ai fait ça pas mal de temps, toute ma jeunesse, ou on ne m’a montre que dalle de chemin. Je ne suis même pas une créature d’un système mais créature de Dieu ça m’arrange bien, ça fait plus propre, plus chic. Et encore que je m’en fous du chic. Alors est-ce que je suis une question sans réponse ? Ca, j’en sais rien, il y a des choses qui me dégoûte comme des choses qui m’enthousiasme, après tout. Et même que peut-être ce qui me passionne, c’est ce que je ne pourrais jamais expliquer. Je suis vraiment dans cet infini : sans fin ni début. Et un début et une fin qui n’ont pas de place dans le temps. Je suis un vrai fou, je me suis toujours voulu fou et j’ai tout fait pour, j’ai pris beaucoup de champignons, beaucoup de cannabis etc et je le suis devenu. Comme quoi quand on veut quelque chose on peut le devenir dans notre belle vie pourrie. Et c’est encore plus facile si t’as de l’argent. Bon dieu mais moi de l’argent j’en veux alors. Mais je ne saurais pas quoi en faire, c’est le problème majeur. Je suis immortel, passer le temps n’a aucune importance, d’ailleurs avec tout ça, je crois que je ne m’ennuie jamais, ou c’est plutôt tout le temps que je suis ennuyé. Je suis une résistance à la pensée véritable et pourtant j’ai du bon sens, il faut le reconnaître. Bon dieu je suis vraiment malheureux, il faut que je le reconnaisse si c’est que l’on appelle le malheur, je suis véritablement en enfer. Je n’ai pas ma place ici sur cette Terre. Ou alors il faut que je cherche une véritable alternative au suicide, du sens, quelque chose d’acceptable. Quelque chose d’heureux. Car oui je suis gai, j’aime les litchis et les cannelés mais pas trop sinon je ne les aime plus. Mais jamais, jamais, jamais, je ne pourrais m’arrêter de réfléchir, de m’arrêter, de penser, de souffrir en grosse quantité. C’est ma peine et ma tache, penser. Et me rendre compte que tout est absurde, que tout est fini, qu’il n’y a pas de pitié sur cette Terre. Qu’elle cède et obéit a la loi du plus fort. Que le lot du désespère, du déprimé c’est le suicide. C’est pour ça que je ne met jamais personne dans le même panier, je suis facile a juger un homme bon et sincère, et admirable. Je m’en rends compte des qualités des autres. Et alors la vous me dites, prends le en exemple. Mais faire comme lui, c’est pour moi mourir, c’est pour moi arrêter de penser, la pensée je la hais comme je l’adore. Je suis enchaîné au doute et au vautour qui vient me bouffer le coeur. Je suis comme Promethee, il veut voler du sens et aimer l’homme et il se retrouve dévorer le foie par un putain de vautour. Si ça c’est pas injuste les poto, hein vouloir aimer et donner et se retrouver comme un connard dans une soirée sado-maso hardcore?





***



Je suis le jouet le plus intelligent du monde. Le jouet le plus doué, le plus intéressant. Si tu veux jouer avec moi, j’accepte, et parfois je t’aide mais tu peux te foutre de moi comme tu veux. Je ne te demande rien, tu peux tout me prendre. Je ne te demande que de jouer, je suis disponible. Il faut bien que je mange et que je fasse comme tous les autres humains. Mais je n’existe quasiment pas. Déjà on me voit disparaître.



***



La voiture parle et le crime paie.





Et tu ne me feras pas dire l'inverse Theolionus, mon ami galactique; je ne dis qu'autre chose qu'autre chose. Vois-tu, maintenant j'ai peur de n'arriver a rien. Je veux dire, que mes questions ne me regardent que moi, car c'est sans doute dans ce petit coin isole que le fou porte son bonnet. Je montre mes textes a mon frère, je lui dis que je veux être poète, parce que je vois bien que je suis malade et que je ne fais qu'écrire, et mon frère cet imbécile me demande si je suis aller voir mon psychologue. Sérieusement, Theolionus, que faire? Maintenant j'apprends qu'écrire c'est exprimer ma réalité. On voit bien que ma réalité est cauchemardesque, alors, ma vie de tous les jours?
Pour être honnête, c'est pire. Ma vie est insupportable, et la je ne me plains pas. Je ne me plains jamais. A part contre l'autorité. Mais je me plains pour la saper. C'est naturel chez moi et ca me plait, tiens, je me plait.
Sinon ? Oui, oui certains de mes cours sont intéressants, inspirants etc etc Oui oui je pourrais faire du cinéma après trois années d'études exemplaires ou avec ma bite et mes notes je noircis des devoirs qui, a vrai dire, me font chier. Je déteste travailler pour réfléchir à autre chose que moi. Mais note que quand je parle de moi, je parle aussi d'autre chose. Il y a toujours de la lumière dans la plus profonde des âmes désespérées, et je me plais à croire maintenant que cette lumière est une action d'un autre. Et de cet action, j'en parle. Ce n'est plus la même, c'est un peu la mienne. Peut-être, Theolionus, je devrais te faire revivre, toi et ton compagnon je vous lierais au Chroniques Martiennes, j'adore écrire de la Science Fiction. Et puis j'y mettrais des idées, je commence à en avoir, ça, c'est la seule chose que je dois développer. De la cohérence et des idées. Mais a ce moment-la j'ai une autre question: les choses viennent-elles a moi ou dois-je venir au chose? J'ai toujours vécu des sortes de révélations, d'ailleurs je suis ne il y a 2 ans. Mais j'ai 19 ans pile aujourd'hui, nous sommes le 22 septembre et je crois avoir change. J'aimerais maintenant que l'Art me sauve. Il faut que je le trouve, et comme je le répète, je crois croire qu'il se trouve dans l'amour, dans l'amour et la haine. Dans la critique de ce qui n'est pas de l'Art.
Le titre de ce texte est très beau, indéniablement. La moitie me vient de mon ami malien. Un chic type et sage, surtout. Aujourd'hui il m'a dit: "J'ai dit a Justine (sa femme, mon amie) que toi et moi nous sommes communistes. Toi et moi nous sommes fous". Communistes parce que révolutionnaire et fous parce que révolutionnaires. Je me contentais de lui confier mon idée du jour: la véritable révolution ne se fait pas en 2 classes comme le pense Marx mais en 8 milliards. Elle se fait avec 8 milliards d'êtres humains. Et puis en montant sur Cote-des-neiges il voit une fille de l'autre cote de la rue et il me dit: "Tu vois elle fait la belle parce que la voiture (a cote d'elle) parle". Je croyais que le type depuis la voiture parlait à la fille mais mon ami malien voulait me dire que c'est parce que la voiture est chic qu'elle fait la belle. D'ou le titre, l'autre moitie parce que c'est vrai: le crime paie. Il venait de le démontrer, mais notez bien, vous qui me lisez, que je ne considère pas la drague comme un crime, loin de la, c'est un art comme un autre.
Et puis je fume énormément, ça m'est impossible de ne pas écrire en ne pas fumant. Je fume comme un pompier en colère. J'avais perdu mon larfeuille et au lieu de m'acheter a manger je me suis acheter des cigarettes. Ca comble la faim et ça plait a mon cerveau. Les gens qui ne tolèrent pas les autres qui fument m'insupportent. Ce sont des crétins; fumer est la première des véritables libertés. Ca devrait être écrit sur le drapeau de toutes les républiques, tiens. Se tuer un peu, je crois, ça ne fait pas de mal. Se tuer beaucoup non plus d'ailleurs. Il y a beaucoup de choses que l'homme moderne doit tuer en lui d'ailleurs. L'homme moderne est avant toute chose un imbécile. Parfois un imbécile lumineux, pour les plus résistants. Mais ce qui m'effraie le plus; c'est les jeunes. A part les jeunes filles qui sont souvent charmantes, les jeunes garçons sont de véritables, mais de véritables crétins. Il me suffit de leur parler un peu pour les comprendre vite et si je leur parle un peu plus alors je les démonte. Où je me tais si je suis trop déçu. Cela doit expliquer pourquoi mes seuls amis sont des gens plus vieux, des amis d'enfance ou de passage, ou des amis poètes.
Donc, Theolionus, je ne bouffe plus. Ou presque plus. Je dis a mon ami malien que je fais le Ramadan avec lui et il rie. Alors je fume, et la fumée est ma nourriture. Et puis j'ai retrouve mon larfeuille aujourd'hui. Je vais m'acheter des cigarettes. Je te rêverais sans doute encore dans mes textes mon ami génial.

#2 roselapin

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Posté 23 septembre 2007 - 10:47

Mettons que je sois dans une prison. Mettons qu'il n'y ait pas de geôlier. Mettons que pour sortir de sa prison, il suffit juste franchir la lourde porte de la cellule. Derrière la porte attend la liberté. Mais derrière la porte on n’entend pas les cris des prisonniers, les murs sont presque imperméables aux bruits. On ne se rend compte qu'une fois dehors, des cris de prisonniers. En fait, dans la cellule on ne peut dire que "moi" ou "moi?" et derrière la porte on peut enfin dire "toi". Pourtant ça n'empêche pas, de ta cellule, de crier "Moi, si moi, toi ? Ou bien, quelqu'un ou quelque chose ?". Peut-être que tu as la clé caché dans ta cellule, ou peut-être que par l’étroite fenêtre qui laisse passer de bien minces filets d’air tu peux attendre, ou bien trouver le moyen de t’échapper de ta cellule. Mais tu peux juste passer ton bras et, ta main dans l’ouverture, tu peux juste sentir le vent se frotter a ton bras, et même pas voir que plus bas, tout en bas de la façade de la prison, il y a la mer prête a t’engloutir, et les requins prêts a se nourrir de ta carcasse déchiré par les rochers. Peut-être que dans la prison, il n’y a que ta cellule, et que l’on t’as laissé ici, inconscient et amnésique, pour une raison raisonnable. Mais, tu te demandes ; un individu, doué de la raison, comme la tienne, t’abandonnerais-t-il dans une prison vide pour une raison raisonnable ? Alors tu fais des films, tu te fais ton propre film, tu essaies de tout ramasser, tu essaies de ramasser tous les mots qui t’appartiennent, tous les souvenirs. Mais tu es toujours dans la cellule et chaque fois que tu lèves la tête, le décor est le même : un lit, des murs gris et pleins de trous, de défauts et un graffiti ou il y a écrit « 77 jours, plus que 75 », il y a aussi le trou ou tu chies, et tu appuies sur la chasse d’eau et tu te demandes ou ta merde va et comment la chasse d’eau fonctionne. Tu as un jour, rie comme un fou, en espérant être ta merde, celle qui peut partir ; tu as un jour espérer être ta merde pour pouvoir quitter ta cellule. Tu te dis que tu devrais te tuer, et chaque jour, on t’apporte de la nourriture, que tu manges avec tes doigts. Au début, tu criais à chaque fois, après chaque fois que l’on t’apportait ta nourriture. Mais on ne te répondait pas. Alors tu t’es dit que c’était une machine et tu te demandais si il y avait des prisonniers, mieux traités que toi. Mais tu ne pouvais pas savoir, même pas s’il y a d’autres prisonniers. Parfois on t’apporte du papier pour t’essuyer, du dentifrice, une bassine avec du savon, un rasoir et des ciseaux. Tu pourrais te tuer avec, mais tu ne le fais pas. Tu préfères attendre, attendre et savoir, tu passes ta main sur le graffiti.

#3 serioscal

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    Serialismo Rigoroso

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Posté 24 septembre 2007 - 07:33

Le schématisme "moi contre le monde" limite quelque peu la portée d'un texte qui recèle de réelles beautés, cela dit. Parfois le je devient sa propre prison. Mais une prison aux murs dorés.

#4 ili

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Posté 24 septembre 2007 - 05:02

Non tu n'es pas un jouet. Tu es mon lapin rose préféré.
Bisous Bisous

#5 roselapin

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Posté 25 septembre 2007 - 03:27

oui.

#6 roselapin

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Posté 27 septembre 2007 - 07:33

Cher Theolionus,

Je n'en peux plus.
J'ecris que de la merde.

Je ne serais jamais pret a temps.
Je vais arreter la poesie qui me (que je) decoit trop.

Je vais etudier. Je verrais ensuite.

BON DIEU IL EST TEMPS QUE JE FASSE DE LA ZIK.

#7 roselapin

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Posté 28 septembre 2007 - 09:36

'MAIS ?'

Le journal affichait en premiere page cet question : 'MAIS ?'
Je vous ai dis que sa maladie n'existait pas, que sa litterature etait forumique, pourquoi ?

'MAIS ?'

Le journal affichait en premiere page cet question : 'MAIS ?'

Un journal dechire, sur une table encombree de saletes, de dechets, en esperant que de son tas d'ordures, de ses plats qui pourrissent de mouches sortent une quelconque folie salvatrice. Il fallait etre un cretin pour ecrire, c'est la solution la plus difficile et la moins adaptee pour lui. Poete du 21 eme siecle, quelle cretinerie ! Poete dans la meta-structure en route vers la fin du monde, une fin belle comme une pub de merde. Futur sans communication et dictature, il fallait deja avoir quelque chose a offrir.. Rien a esperer, l'esperance ne l'a pas assez marque, pourtant deja de l'argent et des etudes possibles comme un long suicide.
Bouffe du carton surgele,
Degueule du sucre acide,
Fume et finit en fumee.
Il ne finissait jamais ses monologues sans sens, les pieds dans le plat, trouver comment comprendre sans chercher, un individu comme 7 milliards d'individus sans cause commune, d'ailleurs ca devait bien etre impossible.

Porte de cellule.

La vie c'etait le soir, dans le reve, pour celui qui ne veut pas de soucis, `mais he on fait pas ce qu'on veut dans la vie', il y a du bien comme du mal, le monde est a toi si tu le veux. J'en veux plus, caprice, je le veux en fait. Je veux tout ce qu'on peut me donner. Je prends tout. Pas de soucis.

#8 roselapin

roselapin

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Posté 29 septembre 2007 - 08:58

Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi.Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi.Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi. Je suis fatigue et paresseux. Toutes les solutions qu’on me propose passe par le travail. Je voudrais que l’on me propose une solution qui ne passe pas par le travail, mais rien ne t’arrive si tu ne fais rien arriver a toi.

#9 Baptiste

Baptiste

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Posté 05 octobre 2007 - 12:44

J'ai trop de problemes. De gros minimes. Mais je ne peux que les emporter, porter, avec moi lorsque j'ecris. J'ai dit un jour que quand je n'ecrirais plus je serais vivant. Bien que cette phrase aille dans tous les sens, elle est vraie dans cette situation, celle-la actuelle. Un poids, tres lourd, sur mon coeur, mon ame, ou la source, ma source. Je pourrais bien essayer d'etre drole, mais il n'y a la que du desespoir, c'est en cela que l'humour est sublime, lorsqu'il deploit son veritable mechanisme, on s'appercoit que l'humour n'a rien de drole. Parfois il n'y a rien de plus effrayant qu'un rire, mais ceci est deja autre chose. Enfin, je sais de quoi je parle quand je parle de l'humour, je suis authentiquement l'homme le plus drole de cette planete, parmi d'autres.
Et puis la poesie !
C'est un reve innateignable, enfin je ne sais pas, quelque chose d'incomprehensible, presque independant a la comprehension, pourtant... Un des plus grands plaisirs, je crois que c'est de Georges Sand ou bien de Kant, c'est de comprendre. Il y a bien un plaisir a comprendre. Enfin je m'ecarte de la poesie, j'essaye de ne pas l'interpreter comme un fantasme. Mais impossible de la considerer hors de moi. Je ne peux m'empecher de la separer du salut, la poesie est une notion presque sans limites, une vraie eponge.
Maintenant le suicide.
C'est une affreuse peur du vide comme un appel sans aucune resistance. Ce ne peut-etre qu'une lachete, comme tout desespoir engendre la lachete. Et croyez-moi je suis malheureux pourtant. En me confiant, c'est pire. Mais je ne peux pas m'en empecher, sachez. N'y voyez-pas un apitoiement, je ne suis pas une petite bete, je suis un vrai punk. Un insouciant. Mais un insatisfait. Le poids lourd sur le coeur ne gagne meme pas, sans doute il se reporte. En se tuant, la seconde avant, ce n'est plus le poids que l'on ressent, c'est la peur terrible mais benie. Si l'attentat rate, alors le poids revient, si l'attentat reussi, je ne sais pas. Mais je vous dis cela, moi qui ai tempte la mort deux fois pour de vrai, une fois pour de faux, croyez-moi je sais de quoi je parle.
L'alternative a l'ennui.
Je suis cerner, encercler par ce que je pourais appeler; le cercle d'ennui. Pourtant je ne vois pas d'alternatives, vraiment pas de choses realistes et concretes. Peut-etre que je suis trop isole. Peut-etre que je suis fou, non cela n'est pas possible. Peut-etre que je parle et danse le vide, cela est possible. Peut-etre meme que je suis prisonnier de mes fantasmes, non, cela me semble faux. Mais qu'est-ce qu'il fait que je suis la, derriere mon ecran, a parler de choses, diverses ? Qu'attends-je ? Je ne sais meme pas. Et pourtant je ne fais que briser l'attente, ce que je dis n'exige pas de commentaires, ce que je dis peut-etre lut. Ce que je dis doit etre lut non comme un texte d'un genre, mais bien comme la description de ma realite, si cela est possible. Je viens de me relire et me voila encore prisonnier d'un personnage. Que j'ecrive 'je' ne suffit pas. Il faut veritablement souffrir pour atteindre une phrase liberatrice. Je ne sais quel demarche suivre, j'ai pourtant ecrit dessus, mais je parle trop large pour moi.

#10 Padej

Padej

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Posté 06 octobre 2007 - 02:50

AU SECOURS !!!!

#11 Baptiste

Baptiste

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Posté 06 octobre 2007 - 07:47

oui