Des poètes, affirmer, qu’ils seraient d’un côté,
C’est à la poésie, lui manquer de respect,
Ne voyant dans ses mots que le plus triste aspect,
Pour à quelques desseins, fausser son équité.
Le félibre n’a pas, le cœur dans les partis,
Il est tantôt d’ici et puis aussi d’ailleurs,
Au gré des injustices et de leurs louvoyeurs,
Contre tous ces faquins, conteurs de concetti.
Vouloir récupérer les petits des cigales,
Pour dire que l’été, appartient à un clan,
Vaut de mettre aux chevaux, leurs bouts de martingale.
N’est que de l’émotion, aux vers de nos poèmes
Et jamais l’illusion de quelques patriclans,
Ne nous empêchera, de crier qui on aime,
Nous n’avons qu’une piste, une vue d’humaniste !
Moietmoi février 2013