Au delà de la mer, ma terre crie misère.
Au delà des frontières, il y a toujours les mêmes guerres.
Voyons, je suis né avec l'amour d'une mère
non pas la haine que détient Lucifer.
Je lève les yeux sur ma ville et constate que rien ne va.
Ici bas, la chance vient puis s'en va.
Comme si de rien était, la société dans laquelle je vis se dégrade de plus en plus.
Lentement mais surement, on arrive vers la fin de processus entamé.
La nature de l'homme se perd, la rue se meurt, la rumeur se répand.
Le temps est mauvais, maussade est le ciel, gris est son cœur
face à l'ignorance qu'on les jeunes pour leurs vies.
Remplis de haine, vivent les problèmes, niquent le système
et c'est pour que ça cesse que je développe ce thème.
Voit, ma conscience est en crise et grisée par les cris fous de ma jeunesse.
Pris entre la joie et la tristesse, je suis du-per car cette vie de chien froisse mon cortex.