Angélique III
Je n'ai goûté au Début mais mange la fin
D'une confiance et d'un Espoir trop précoces.
Tu n'imagines pas comment elle est atroce
Pour moi qui, du Bonheur, avait pourtant si faim.
Malgré mes maux comment oublier tes doux mots
Qui restent gravé dans la peau cadavérique,
De mon cœur déjà fendu, en notes lyriques
Produisant le cris de l’agonie et des maux...
Ô la Mort m'entoure et j'enferme le néant...
Seule ma lâcheté me protège encor d'elle...
Je t'ai approché comme Icare et perds mon aile...
Je me meurs je t'ai donné mon dernier élan..
Tu me mènes au trépas mais je ne t'en veux pas..