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24 réponses à ce sujet

#1 Vivien

Vivien

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Posté 19 octobre 2013 - 06:32

Aujourd'hui je me suis tenu à distance du Solitaire

afin de mieux le contempler.

Il fait peur. Très peur d'abord.

Puis, une fois le gel guainant son coeur franchi

- cela peut prendre des heures -,

d'un oeil tendu comme la main qui tient

la dernière, fèbrile page d'une saison,

il commence à faire bon.

(Bon jour sec, sans nuages, où souffle une légère brise

sur les côtes nues de l'enfant

jouant sans le savoir avec sa propre mort.)

 

Après quoi la peau se change en cristal;

crisse, crisse, petite peau, sous les doigts de lune de l'eau...

Personne d'autre ne peut t'entendre ici,

dans le lieu sans formule où je t'ai suivie.

Corps et ombres, passagers de monde,

au milieu de vous se tient un homme qui s'est quitté

sans rien perdre de lui-même;

tendez l'oreille, je vous en prie,

et jetez vous tout écumant contre sa sourde gloire.

 

 

 

 



#2 Vivien

Vivien

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Posté 19 octobre 2013 - 09:23

Tu me demandes de te consoler, ami...

Comment l'inconsolable pourrait-il consoler quelqu'un ?

Ce serait comme vouloir l'embrasser en jetant une pierre

de bonne taille, et tranchante, contre ses lèvres.

Certes, le sang réunit, et je serais prêt

à mélanger le mien au tien...

Mais, dis-moi, ami :

à qui profite le sang ?

Y as-tu seulement réfléchi ?

Ni à toi, ni à moi, pour sûr,

puisque nous voulons l'échanger.

Quel est cet être tapi au fond des courants

et qui remonte, encore invisible, vers nous ?

Lui, saurons-nous le consoler ?

Ou bien fera-t-il sombrer un peu plus encore

notre frêle esquif, sur ces eaux déchaînées ?

 

Ah ! Benoni ! fils de ma tristesse !

Combien ce voyage vers la mort

éprouve, et finit pourtant toujours

par metttre le coeur en liesse !

 

C'est que délicatement, oui, délicatement, Benoni,

tu défais les liens de nos âmes

afin qu'elles retournent s'ébattre en leur contrée natale.



#3 serioscal

serioscal

    Serialismo Rigoroso

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Posté 24 octobre 2013 - 09:24

Je dirais même plus : un bonheur à te lire.
La joie des retrouvailles.

#4 J.G. Mads

J.G. Mads

    J.G. Mads

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Posté 25 octobre 2013 - 10:07

de toute beauté



#5 Victorugueux

Victorugueux

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Posté 25 octobre 2013 - 10:42

ouai M'sieur! Bravo!  M'sieur...



#6 le hamster

le hamster

    A poil laineux

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Posté 26 octobre 2013 - 04:17

Très fort, en effet.



#7 Vivien

Vivien

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Posté 03 novembre 2013 - 02:49

merci à vous



#8 serioscal

serioscal

    Serialismo Rigoroso

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Posté 03 novembre 2013 - 02:51

Un autre !

#9 Vivien

Vivien

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Posté 03 novembre 2013 - 03:09

ca tombe bien je voulais poster


de la frappe


on a bien le temps de devenir des old boyz
et puis des dead boyz même
avant ça, comme tout un chacun, on essaye déjà de jouer son rôle

***

il est évident qu'il y a un rôle à jouer,
imparti
je vois les choses comme ça
je me rassure comme je peux

***

ça ne veut pas dire que je sois heureux
mais c'est la seule façon de vivre
sur la scène de foire de l'époque
ramasser la banane et l'éplucher
ou la balancer contre les barreaux de la cage
et recommencer
- tâcher d'y trouver sa petite dose de plaisir
à renouveler

***

pas de prescription de médecin dans la cage
on s'amasse par dizaines pour acheter la frappe
par centaines, la main tendue et dans la main le billet
chômeurs, hipsters, travailleurs à la chaîne
étudiants en philosophie, petites meufs, keufs même
skins, reggeamen, âmes perdues
cadres de la Défense en retard
moi, mon pote, toi aussi
et nos frères, tous nos frères
le sel de la terre comme on dit
en attente du mec à capuche

***

5 minutes
encore 5 minutes
et notre patience sera récompensée

***

inutile de trop se parler
la nuit est déjà tombée et nous le savons bien
connaître le nom de son voisin n'y changera rien
autant économiser sa salive
pour rouler le joint à venir, téter le goulot d'une bière
sur un toit
en chantant  faux
et complètement pété
une chanson d'amour

***

de cette acmé touchée par l'acteur dans son jeu
quelques échos iront s'écraser contre une fenêtre éteinte
impossible de les rattraper
de les humer, de les retenir
toute force de résistance est vaine
puisque nous ne sommes à la merci de personne

***

il n' y a, ici, ni leçon à donner, ni leçon à apprendre
simplement un rôle auquel on se doit de
voler quelques libertés par instants

 

 

 

 


du travail
 
 
la plus efficace des drogues c'est ton travail
mets-toi ça dans le crâne saleté de prolo
quand tu rentres si tu rentres ce n'est plus chez toi
qu'un baiser ou un rêve arrive à se glisser jusqu'à toi
et le jour venu, ton travail l'étouffera


minuit donne ton amour, minuit montre ton amour
à ton tour, nomme ton amour


chhhhhhBIM BAM
BIM
POUM
c'est le bruit que fait ton amour
celui qui dégringole les escaliers
s'étant pris le pied dans
la robe brûlante de ton travail


bouge, bouge, petit cul en feu
petite mort crachée par la bouche
du club plein à craquer
droit dans les yeux
des hommes-chiens affamés
grands mangeurs de lune devant l'Eternel
voici venue l'heure de la Curée


il y a de ces rêves qu'on gerbe sur sol de parking
sans même s'en rendre compte
et chaque variante de cette scène compte
quelque soit le Lieu : Mac Do, boîte, ou Burger King


comme nous sommes aveugles...
qui nous a craché dans l'oeil ?
qui pourrait voir le malin démon
ramasser les débris ?


CHAQUE MORCEAU, POURTANT, ETAIT UN RÊVE
que ton travail a étouffé
et transformé en ça


#10 No. 7

No. 7

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Posté 03 novembre 2013 - 04:12

Ce poème est le sang même de la mort ...

Moi - ce fameux et antique "Je" inacceptable en un tel lieu

 

Dans ce Temple du Sacrifice

 

Moi, la mort me fait peur.

Jadis, je t'ai commenté - et  pour reprendre l'expression : "J'ai assis la beauté sur mes genoux et je l'ai insultée"

 

Mea culpa ...

 

En fait, le soleil - ce soleil - m'avait trop longtemps brulé la rétine

Depuis l'aube jusqu'à son Zenith

 

La grande ronde des aveugles - car ce soleil regarde-t-il autre chose que la nécessité ?

Danse macabre !

 

Et si maintenant, on me jetait au lions

Aurais-je ce visage transfiguré des premiers chrétiens ?

 

La Mort me fait plus peur que celle-là

 

En fait, c'est pire que celà, elle me dégoute !

 

Elle est innaceptable.

 

Et les lions s'en repaitraient les babines !

 

Ma poésie n'a qu'un gout de cendre ...



#11 Vivien

Vivien

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Posté 03 novembre 2013 - 04:42

Je suis pas sûr d'avoir tout compris à ton poème/message
tu sembles parler de deux morts, la petite et la vraie, comme moi
on risque de mourir de la petite, et à petits feux, quand on ne peut pas affronter la grande

c'est comme dans le poème de Rilke, grand poème, Le livre de la pauvreté et de la mort.
Tu connais ?

Pour la danse macabre, un poème de Milosz :
 

Danse macabre

 

Il est doux d’entendre sonner jusqu’au jour
ses genoux creux entre les os de l’amour.

 

De boire dans les orbites de l’Amie
le vieux mensonge des pleurs en eau de pluie.

 

Et de sentir les rayons des lunes hautes
glisser romantiquement entre ses côtes.

 

Il est doux, il est sage, il est bien
de n’être plus, de n’être plus rien.

 

Comme on est joyeux, léger, comme on se porte
bien, quand la vermine, la vermine est morte.

 

Laissons aux bardes les sinistres ballades ;
Lennore, Helen, faisons de bonnes gambades.

 

Écartez-vous, rue, escargots, citronnelle ;
voici Laure, la plus gaie et la plus belle.

 

Il est doux, il est sage, il est bien
de n’être plus, de n’être plus rien.

 

Plus de maîtresse, plus de chien, plus de Dieu ;
c’est tout ce que je veux, c’est tout ce qu’il veut.

 

Passants là-bas, cavalier et cheval noir
venez donc un peu par ici, venez voir.

 

Il s’est enfui, personne, la route sonne.
Ô comme le désir de vivre m’étonne !

 

Il est doux, il est sage, il est bien
de n’être plus, de n’être plus rien.

 

Clic-clac
de vertèbres
qui craquent
et dans les ténèbres
mélancoliques
ici, là-bas, où ?
clac-clic,
de dansantes reliques

Mains et pieds traversés de clous.

 

Amour remariée, entends-tu ma voix ?
Cette nuit, dis-moi, combien, combien de fois ?

 

Mon fils, mon fils, sais-tu déjà épeler
mon nom sur la pierre moussue et pelée ?

 

Sganarelle, hi hi hi ! voici tes gages :
treize queues de rats, trois yeux de chats sauvages.

 

Il est doux, il est sage, il est bien
de n’être plus, de n’être plus rien.



#12 No. 7

No. 7

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Posté 03 novembre 2013 - 05:14

Ma myopie est si extrême qu'aucun verre ne saurait plus la réparer ...

 

B)



#13 le hamster

le hamster

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Posté 03 novembre 2013 - 09:12

ou la balancer contre les barreaux de la cage
et recommencer

 

Je sais ce que c'est : je suis un hamster...  :lol:



#14 Vivien

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Posté 04 novembre 2013 - 06:26

hehe



#15 Vivien

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Posté 11 novembre 2013 - 08:37

les fils de l'hiver

 

 

l'hiver s'endort sous les pieds gercés de Paris
en rêvant qu'il remonte vers la source du printemps
des milliers de rues sont foulées par des milliers de parisiens
le nez au vent
qui hument - cela faisait longtemps
l'air frais et piquant du matin


un clochard puant s'est endormi dans le train
et personne ne vient le réveiller
pour quoi faire ?
il finira au cimetière
de toute façon
et les autres passagers, eux,
se dirigent vers le printemps
le fier printemps pétulant qui leur redonnera de l'espoir


par les larges baies vitrées le soleil inonde de douceur la
galerie du musée -  bleu de Klein
change de couleur ! enflamme-toi !
je suis un magicien
un touriste chinois éclate de rire et applaudit
peut-être que la journée ne sera pas si longue
après tout...


quelqu'un va se prendre  
une sarabande
de Picasso
dans la gueule
il en redemandera
et sera comblé au-delà de ses plus folles espérances
dingue d'aise
c'est le printemps qui vient vers nous
après tout...


trotte, trotte, petit tox, vers ta récompense
et toi le mec qui croit posséder le monde
trotte aussi, vas-y
dans cette ville nous trottons tous
les parisiens sont des petites trotteuses
bien pressées par le temps
bien comprimées vers le majeur tendu par la Tour Eiffel
dans le ciel dégagé de midi
c'est le printemps qui vient
et nous remontons vers sa source
nous les fils de l'hiver nous les fils d'une saison morte
nous les parisiens



#16 Vivien

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Posté 18 novembre 2013 - 09:53

D'un cône l'autre

 

Plus réel qu’hier

Le cône de lumière craché par le néon du lampadaire

Balaye sans effet superflu l’artère

De la rue

Pour un moment, un soir, une semaine

Le sentiment d’être entier dans la ville existe

D’être nu

Sans atermoiements sans atroces spirales

A la périphérie du règne humain

Un peu plus loin que le déchet d’un virus

Le voir vit

Et bat de nouvelles cartes

Imbibées de jus divin


***


Sur la Folle Ravagée

 

Le sperme coule sur le ventre de la Folle Ravagée

Que j’ai baisée

Sans relâche,

Sans raison, pour me perdre encore.

Elle me demande pourquoi -

Pourquoi ne pas avoir tout lâché à l’intérieur,

 bébé ?

Sans répondre je me lève

Et vais me réfugier dans la salle de bain.

Catin, sainte, câlins…

tout se mélange.

Je baisse les yeux et vois son sang sur ma bite.

J’hésite entre la peur et le haussement d’épaule.

L’eau brûlante coule sur mon corps

Pendant qu’une forme pour qui je n’ai aucun sentiment

 rit cassée dans le noir.



#17 Vivien

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Posté 18 novembre 2013 - 10:19

***

 

Sur la Folle Ravagée 2

 

 

et maintenant il faut que tu comprennes
me disait-elle, les yeux dans les yeux,
que seul et solitaire ne sont pas la même chose
qu'ils ne riment pas pareil
tout ça c'est une histoire de reconfiguration mentale
on ne peut pas tout dire, comme ça
ça vaut pour l'histoire de ton pote camé
dans ma famille on se tait
mon grand-père pourrait te tuer
j'ai bien envie de te le faire rencontrer
seul et solitaire, rien n'est moins semblable
moi je suis seule
tu comprends ?
- non, et
tu me pourris la tête avec tes conneries
arrête
arrête tout de suite
en vérité tu me tires vers mon propres trou noir

- mais ça, je ne lui ai pas dit,
non plus que :
Tien, enfin un moment
où tu ne ris pas
comme une Folle comme
si je n'existais pas



#18 Vivien

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Posté 18 novembre 2013 - 10:30

toi

disparais

efface ton visage de ma mémoire

je ne veux plus te voir

je ne veux plus te voir...

 

faisons comme si tu n'avais

jamais existé...

 

oublie mon numéro

oublie mon adresse

supprime moi

comme je te supprimes

 

je te recontacterai quand refera surface

la question de nos origines

 

en attendant de multiples orgies te guettent

à l'intérieur desquelles je te souhaite de crever.



#19 Vivien

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Posté 19 novembre 2013 - 11:25

Un peu d'Otis, de Dosto, et de plein d'autres choses


j'écris mon poème par jour; c'est obligé.
il se dépose granuleux au fond du verre bu :
c'est comme une sacrée bonne hygiène de vie.
un swing sans jazz, bizarre me direz-vous - certes,
mais possible -
au fond du vers, en grattant bien,
il y a du Redding qui chante en moi -
une plainte modulée en funk chaloupé
qui crépite et réchauffe le coeur,
baby !

voilà sans doute ce que tente de pianoter depuis des heures
la créature androgyne sur le piano d'exercice de la BPI /
voilà ce que j'offre à l'énigmatique femme
aux traits d’impératrice, béret jaune tournesol,
qui s'assied pleine de grâce dans ma rame....
et dire qu'une pitoyable voix au fond de moi
orpheline de vers, privée de poésie, pitoyable, pitoyable voix,
me serinait hier encore ma perte !
"Perdu, écrasé, ployant sous l'horrible fardeau des jours,
poète, écrivain raté, khé-khé-khé"
trop tard pour toi ! c'est une quinte de toux
dont tu ne te remettras pas...
"Ecoute-moi, baisse la tête, ne pense pas,
penser est comme vivre : tâche trop difficile,
khé-khé-khé, trop... compliquée..."

ha ! Dosto te l'écriras encore mieux que moi :
humiliée, tu donnes tes plus belles fleurs, voix;
et, seigneur minuscule, je te les offre encore une fois, pourtant,
parce que mon âme est bonne
quand l'ivresse résonne
granuleuse, au fond du verre.

un par jour, je te le dis.
et je m'y tiens.
à défaut d'aucune autre prétention
le poète bourré de bonnes intentions
est sain.

 



#20 J.G. Mads

J.G. Mads

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Posté 27 novembre 2013 - 10:13

l'auto-discipline ou auto-nazisme, la méthode couenne cinglée ?

 

la vie marche militaire à terre toute ?

 

NON !

 

il vaut mieux s'exercer au surfunambule, à surfer droit et beau sur les vagues du chaos ! sur le fil sensible du présent !

 

le chaos, en effet, est la seule note, la seule loi c'est-à-dire qu'il n'y en a pas

 

l'ordre, n'importe quel soi-disant ORDRE en vérité est dérisibiloirissime

 

l'auto-discipline, en particulier, un piège paramilitaire bêta-bloquantesque

 

une fausse bonne idée, si tu préfères...



#21 J.G. Mads

J.G. Mads

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Posté 27 novembre 2013 - 10:50

ah ! le fameux poète Claude Nougaro ! notre chevalier rond roi Arthur dur dur ! notre Gilbert Rimbaud ! Bécaud !



#22 J.G. Mads

J.G. Mads

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Posté 27 novembre 2013 - 11:01

Nougaro il était un peu vieux corps malade sur les bords, avec des salades de jeux de mots, sudoku dans son genre



#23 Victorugueux

Victorugueux

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Posté 27 novembre 2013 - 11:02

Un jour ou l'autre il faudra écire

Un traité universel sur les diverses choses

Que sont l'écriture, la poésie,

La politique, la pensée Universellle

Le temps qui passe inexorablement

Le vent maudit et les feux de la saint Jean

Les poètes morts, les amour immortellles

Et tutti quanti et cela en 20 volumes

Edités aux éditions du temps qui vient

Vendu pour presque rien

Ici et Maintenant sur TLP



#24 Victorugueux

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Posté 27 novembre 2013 - 11:52

Ben! Si ça continue

Il va perdre

Jusqu'à 1000€uroses



#25 J.G. Mads

J.G. Mads

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Posté 27 novembre 2013 - 12:11

c'est CADEAU pour lancer ma campagne de prise d'otages, y aura pas plus, thorugueux,

 

dans l'attente de recevoir le règlement dûment libellé et orthografixé TIM HUCK 500 boules,

 

veuillez agrémenter, etc.