j ai pas la force de le penser
ni le courage de le réaliser
ca fait partie de ce monde
de ces choses trop dures a accepter
qui pour toujours forment une ronde
un tout un moment une finalité
cet instant que tu ne peux eviter
ce départ qui te bouffe
ce silence qui finit par te dévorer
cette envole qui te touche
cette nouvelle te comprime le cœur
cette réalité qui fait peur
obligée d etre acceptée
car sinon tu ne peux avancer
mais comment vivre alors qu elle est morte
comment de quelle sorte
la vie est régie par ce rond
mais ce sont les disparues qui mettent les vivants au fond
ce souvenir ressorts
plus puissant que jamais
peut être ai je tort
mais ainsi c est fait
les années ont passées
les gens ont changés
le fleuve s est tarie
et désormais tombe la pluie
nous continuons tous pour eux
a faire notre vie être heureux
comme si a travers nous de la ou ils sont
ils ressentaient chacun de nos frissons
un semblant de vie pour nous comme pour eux
ce qui nous veillent a travers les cieux
ces gens si bien et si loin
de qui nous prenons soin
a jamais dans nos vie
car la leur est finie

a nos coeurs
Débuté par servant de l eau, nov. 06 2013 04:57
1 réponse à ce sujet
#1
Posté 06 novembre 2013 - 04:57
- M. de Saint-Michel et Selphie aiment ceci
#2
Posté 06 novembre 2013 - 07:25
La présence des "absents"...