À l'aube, estompant les pestes d'hier
Laisse ses rayons dévoiler les visages
Des incubes qui répètent sans cesse
Que le travail c'est la santé
Et que dans la pénombre ambiante
Se trouve la fierté d'avoir vaincu
La peur de réflexion vieillissante
Maux des défunts qui viendront
Sais-tu pourquoi ta cervelle ne s'éparpille
sur tes murs, spectres des rosiers du château?
Quand tu vois ces mallettes ambulantes
Peupler les rues de leurs trépidantes pupilles?¨
Ils s'épuiseront, les neurones en purée
En attendant de vivre aux baisers des aiguilles
Au crépuscule ravivant les virus d'antan
Un nouveau cycle débute, tout est tranquille

Sais-tu ce que tu veux?
Débuté par blanc, nov. 23 2013 01:11
Aucune réponse à ce sujet
#1
Posté 23 novembre 2013 - 01:11
- M. de Saint-Michel et Mariam Bouaoud aiment ceci