Fièrement dressés aux mouvements de trident
Corrodant la nuit et précédés d’un quadrige
Fantassins voués à leurs Venus Callipyge
Grouillent par centaines dans un val débordant
Tirés par des ânes, cet ost outrecuidant
Déploie des canons de chairs que chacun érige
A la force des bras, carcasses de prestige
En quête de toutes les faveurs d’Occident
Succubes et circés dans ce déferlement
Répriment tout écarts où, en un hurlement
Ruisselle cette horde autour de leurs cheffesses
Quand, entrainés dans cet élan d’insanité
Leur belle déesse regarde encor ses fesses
Nous convergeons pour que leurs chairs soient vanité