Il y a l'hiver qui arrive dans mes veines
un froid lugubre pénètre ma cervelle
le gris monotone colore mes pensées
la lune dans son blanc a peur de la nuit
Dans le vert de mes yeux l'amer de la vie
l'humide quart de tour abîme ma musique
moiteur dans ma voix étrangle un enfant
le chant du poète frissonnent dans le soir
le noir dans le vent le blanc de la lune
le drame continue sa route vers le nord
le froid assassin persiste dans le crime
le feu mon ami dissipe ma tristesse
allonge la veillée réchauffe les foyers
les nuits saturnales un conte Constantin