L’oraison de la connaissance du for intérieur
I.
Ò Socrate, je ne peux guère espérer savoir
Ce qui se trame réellement dans mon manoir
Car je ne détiens pas la vérité absolue
Pourtant j’ai l’idéel le plus irrésolu
II.
Plus je comprends mon être plus j’en doute
Plus proche est l’esprit plus proche est son doute
Bien que je n’arrive point à être en symbiose
Entre la réalité et mon esprit se glisse la prose
....
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