Dans mon lit ce matin
Il y avait des améthystes
Des bontés de légende
Des rétrospectives inouïes
Des fracas de foin
Parce qu’il n’y avait rien
Sinon ton absence
Salaud ! salaud de n’être jamais là
Sous prétexte que tu n’existes que dans mes rêves
J’espère que tu t’en rends compte
Quand tes amis mêmes te fuient
Quand tu voudrais écrire et ne le peux
Surtout le mot enfin tu vois
Le matin quand je me lève
C’est comme au bout d’une cigarette la cendre
Qui tombe