Au bout de la laisse
Toi qui m’as laissé croire, inconsciemment peut-être,
Qu'un jour enfin, on me verrait libre de cette
Souffrance terrible et douce. Ce ne peut être,
Qu'un jour en vain, me demandant ce que vous faites.
Moi qui, pourtant passant innocemment, vous vit,
Dans les bras d'un homme, que vous sembliez aimer,
Alors que mon cœur pleurait, je vous ai maudit,
Vous qui le regardâtes, vos yeux m'ignoraient.
Et ce fut la source de mon plus grand malheur
L'amour est aussi beau qu'il pique. Quelle fleur !
Cette rose est fanée : "On vit, on pleure, on meurt".
Et vous meme qui ignorais cette trahison
Parce que de peur j'ai du caché mes intentions
Notre histoire demeurera une illusion !
Parce que de peur j'ai du caché mes intentions
Notre histoire demeurera une illusion !