À l’ombre du gravier j’ai bâti l’ineffable
Et l’ai pourvu de sons, de couleurs, de parfums ;
J’ai floué le néant comme un château de sable
Éveille en toi la farandole des embruns.
Posté 26 février 2014 - 07:33
À l’ombre du gravier j’ai bâti l’ineffable
Et l’ai pourvu de sons, de couleurs, de parfums ;
J’ai floué le néant comme un château de sable
Éveille en toi la farandole des embruns.
Posté 15 juin 2014 - 11:36
Cette phrase m'interpelle "j'ai floué le néant comme un château de sable", je ne sais pas vraiment pourquoi, peut-être le côté irréel de la chose.