
ME FONDRE EN TOI......
#1
Posté 01 novembre 2007 - 09:37
quand le ciel s'est vétu de noir
quand la lune prend la place du soleil
ta douce mélodie résonne dans mon cœur
c'est au rythme de ton amour
que mes yeux se ferment alors
et que mes rêves affleurent
lentement, doucement,
je m'immisce en toi, reposée,
calme et attendrie,
je fonds pour finir par m'évanouir
dans la tendresse de tes bras calins
le visage enfoui en toi protégée des affres
de notre monde folie, je suis enfin, moi,
je n'ai plus à courir, je n'ai pLus à m'enfuir
je ne connais plus la peur
je suis juste douce dans l'extase
de ton amour protecteur
#2
Posté 01 novembre 2007 - 09:45
Et je serais,blottie,en tes bras,
Passion et Amour de nos draps,
Oubliant ce qui est en moi,
Pour être,enfin,tout à toi.
#3
Posté 01 novembre 2007 - 09:49
Que d'Amour et de tendresse en toi.Amitiés la Miss.
Et je serais,blottie,en tes bras,
Pasion et Amour de nos draps,
Oubliant ce qui est en moi,
Pour être,enfin,tout à toi.
j'en ai peut-etre beaucoup maisn'est-ce pas parce que l'on m'en donne tellement aussi
merci à toi
amitié
#4
Posté 01 novembre 2007 - 09:56
quand le ciel s'est vétu de noir
quand la lune prend la place du soleil
ma douce folie résonne dans mon cœur
c'est au rythme de mes amours
que mes yeux se ferment alors
et que reviennent mes malheurs
lentement, doucement,
elles s'immiscent en moi, déchainées,
infamie et ignominie,
je fonds pour finir par m'évanouir
dans la detresse de leurs bras malsains
la rage enfoui en moi réveillée des affres
de notre monde folie, je suis enfin, moi,
je n'ai plus à courir, je n'ai plus à m'enfuir
je ne connais plus la peur
je suis la fièvre et l'envie dans l'extase
de mes amours destructeurs.
Loin de moi l'envie de salir ton texte, mais l'inspiration ne se retient sans quoi elle devient eau de boudin.
En esperant que cela ne te derange pas que je retourne ton texte.
Un autre point de vue.
#5
Posté 01 novembre 2007 - 10:08
quand tombe la nuit
quand le ciel s'est vétu de noir
quand la lune prend la place du soleil
ma douce folie résonne dans mon cœur
c'est au rythme de mes amours
que mes yeux se ferment alors
et que reviennent mes malheurs
lentement, doucement,
elles s'immiscent en moi, déchainées,
infamie et ignominie,
je fonds pour finir par m'évanouir
dans la detresse de leurs bras malsains
la rage enfoui en moi réveillée des affres
de notre monde folie, je suis enfin, moi,
je n'ai plus à courir, je n'ai plus à m'enfuir
je ne connais plus la peur
je suis la fièvre et l'envie dans l'extase
de mes amours destructeurs.
Loin de moi l'envie de salir ton texte, mais l'inspiration ne se retient sans quoi elle devient eau de boudin.
En esperant que cela ne te derange pas que je retourne ton texte.
Un autre point de vue.
POURQUOI PAS ?
tu saisj'ai l'esprit ouvert alors ton point de vue je l'accepte sans probléme
amitié
#6
Posté 01 novembre 2007 - 11:04
je ne connais plus la peur
je suis juste douce dans l'extase
de ton amour protecteur ...
pour quoi courir alors qu'on peux faire le trajet en randonnée...
la peur peux nous ralentir
etre douce, fondre dans l'espace de la tendress
est le reve de tout etre normal...amitié.
#7
Posté 01 novembre 2007 - 11:21
Puisse ce sentiment te rester à jamais.
Amitié.
#8
Posté 01 novembre 2007 - 11:34
C'est très beau ton poème.
Juste si je puis me permettre, sur le fond, ne peut-on rester soi tout en se fondant? Et ne pas chercher un refuge? Et juste être deux en symbiose où chacun donne intuitivement le meilleur de lui-même? Et où chacun vient sans ses peurs à lui ou à elle, juste deux êtres, pas un refuge, deux pour le meilleur?
Mon humeur est taquine et maladroite ce soir, j'espère que mes mots ne t'auront pas dérangée. Un autre point de vue aussi. La tendresse et la douceur de ton poème.
#9
Posté 02 novembre 2007 - 01:28
Joli poème, très doux bras câlins...j'y aurai ajouté des mains...douces et tendres...avant les bras...cela n'engage que moi...je frémis sous tes doigts subtils je frissonne sous la douceur de tes mains agiles je m'alanguis sous l'éclat de tes yeux et me dissous sous d'autres cieux.
C'est très beau ton poème.
Juste si je puis me permettre, sur le fond, ne peut-on rester soi tout en se fondant? Et ne pas chercher un refuge? Et juste être deux en symbiose où chacun donne intuitivement le meilleur de lui-même? Et où chacun vient sans ses peurs à lui ou à elle, juste deux êtres, pas un refuge, deux pour le meilleur?
Mon humeur est taquine et maladroite ce soir, j'espère que mes mots ne t'auront pas dérangée. Un autre point de vue aussi. La tendresse et la douceur de ton poème.
Tiens, c'est marrant ça, cette voix, avec ses accords et ses réserves, m'en rappelle une autre.
Oui, oui, finalement, comme le dit à peu près la chanson, pourquoi le soleil n'aurait-il parfois rendez-vous avec la lune?...
#10
Posté 02 novembre 2007 - 03:23