
Crayolas et fraises tagada
#1
Posté 02 novembre 2007 - 10:47
Je rêve encore et encore; en vain.
Par moment j'attends la mort,
Doux répits pour certains; incertain
Pour moi qui doute encore
Sur ma vie, ma destiné, mes envies
Et sur le plus fatal des sorts.
[...]
Ma vie éclairé par la lumière chancelante d'une bougie qui s'éteint.
Mélodie aux accords déprimant accompagnant ma folie douce amère.
Je ne vis qu'à travers des chimères, et cependant ma souffrance et plus que réelle,
j'ai mal, au plus profond de mon corps, dans les tréfonds, les abîmes de mon coeur,
je souffre.
Mais on ne me comprends pas, ne me comprends pas moi même.
Une envie de tout détruire encore et encore, et vouloir tout reconstruire...
...château de sable sur une plage déserte, a jamais emporté par une mer qui n'a que faire des rêves d'enfants.
Disparaître a jamais.
Fuir cette vie que je ne veux pas, cette vie que l'on m'impose.
Prendre ses crayolas et crayonner une autre vie,
sur une feuille qui ne finirait jamais et sentirais la fraise tagada.
Être heureux et fuir les idées noires.
Impossible.
Mes yeux me trahissent, je me rends compte que tout ça n'est pas vraiment pour moi.
Je raconte n'importe quoi.
Encore et encore.
Partir et recommencer, souffrir et s'effacer.
Je me hais encore plus qu'ils vont me haïr.
Ils ne me comprendront pas, ne me comprendront jamais.
Je suis une perte de temps à moi tout seul,
et cependant j'aime qu'on me porte de l'attention.
Je suis plutôt paradoxe de sentiments,
sentiments qui s'entrechoquent dans mon coeur et qui résonne jusqu'à ma tête,
écho insoutenable qui me fait faire les choses de la vie de travers.
Comment me comprendraient ils, si moi même je me pose des questions sur ma vie?
Je suis instable.
Funambule d'une vie sans filet,
un vent de panique me fait chanceler,
une pluie de regret s'abat sur moi,
un frisson d'espoir me fait trembler...
...j'avance à tâtons sur un fil trop tendu,
ma vie ne tient qu'a un fil.
Je coupe les mains tendu vers moi, je veux m'en sortir seul,
je ne mérite pas que l'on m'aide encore moins que l'on m'aime,
même si c'est ce que je veux.
Je le ressens aussi fort que je souffre.
#2
Posté 02 novembre 2007 - 11:12
"Fuir cette vie que je ne veux pas, cette vie que l'on m'impose.
Prendre ses crayolas et crayonner une autre vie,
sur une feuille qui ne finirait jamais et sentirais la fraise tagada.
Être heureux et fuir les idées noires.
Impossible."
"Je suis une perte de temps à moi tout seul,
et cependant j'aime qu'on me porte de l'attention" tendresse et attention douceur
"Je coupe les mains tendu vers moi, je veux m'en sortir seul,
je ne mérite pas que l'on m'aide encore moins que l'on m'aime,
même si c'est ce que je veux. " vite attrape ces mains...
Je le ressens aussi fort que je souffre."
Envie de te dire, fais-toi plaisir, une crêpe au chocolat et amandes et de la chantilly, des petits plaisirs...des petits riens...tant de surprises et de jolis imprévus ici-bas...cela vaut la peine!
Ce poème-là est dur, je l'aime, ouf il y a les fraises tagada. Et tu as tes mots si beaux que j'aime...Les fraises tagada, ça va avec la chantilly? une petite faim...j'irai bien me manger une crêpe au chocolat accompagnée de fraises...juste avant d'aller rêver...
#3
Posté 02 novembre 2007 - 11:45
triste mais ô combien beau,funambule d'une vie sans filet,dure et triste réalité d'ici bas.j'ai adoré,merci.amitiésJe ne sais pourquoi je suis ni pour qui je vis,
Je rêve encore et encore; en vain.
Par moment j'attends la mort,
Doux répits pour certains; incertain
Pour moi qui doute encore
Sur ma vie, ma destiné, mes envies
Et sur le plus fatal des sorts.
[...]
Ma vie éclairé par la lumière chancelante d'une bougie qui s'éteint.
Mélodie aux accords déprimant accompagnant ma folie douce amère.
Je ne vis qu'à travers des chimères, et cependant ma souffrance et plus que réelle,
j'ai mal, au plus profond de mon corps, dans les tréfonds, les abîmes de mon coeur,
je souffre.
Mais on ne me comprends pas, ne me comprends pas moi même.
Une envie de tout détruire encore et encore, et vouloir tout reconstruire...
...château de sable sur une plage déserte, a jamais emporté par une mer qui n'a que faire des rêves d'enfants.
Disparaître a jamais.
Fuir cette vie que je ne veux pas, cette vie que l'on m'impose.
Prendre ses crayolas et crayonner une autre vie,
sur une feuille qui ne finirait jamais et sentirais la fraise tagada.
Être heureux et fuir les idées noires.
Impossible.
Mes yeux me trahissent, je me rends compte que tout ça n'est pas vraiment pour moi.
Je raconte n'importe quoi.
Encore et encore.
Partir et recommencer, souffrir et s'effacer.
Je me hais encore plus qu'ils vont me haïr.
Ils ne me comprendront pas, ne me comprendront jamais.
Je suis une perte de temps à moi tout seul,
et cependant j'aime qu'on me porte de l'attention.
Je suis plutôt paradoxe de sentiments,
sentiments qui s'entrechoquent dans mon coeur et qui résonne jusqu'à ma tête,
écho insoutenable qui me fait faire les choses de la vie de travers.
Comment me comprendraient ils, si moi même je me pose des questions sur ma vie?
Je suis instable.
Funambule d'une vie sans filet,
un vent de panique me fait chanceler,
une pluie de regret s'abat sur moi,
un frisson d'espoir me fait trembler...
...j'avance à tâtons sur un fil trop tendu,
ma vie ne tient qu'a un fil.
Je coupe les mains tendu vers moi, je veux m'en sortir seul,
je ne mérite pas que l'on m'aide encore moins que l'on m'aime,
même si c'est ce que je veux.
Je le ressens aussi fort que je souffre.
#4
Posté 03 novembre 2007 - 12:05
la noirceur imprime tes mots d'amertume
le noir est un choix déliberé pour toi......
et c'est ce noir là qui donne la beauté à tes mots...quel paradoxe!
#5
Posté 03 novembre 2007 - 10:11
#6
Posté 03 novembre 2007 - 11:55
pourquoi venir ici
et emprunter ce chemin si pénible ?"
le chemin est l'unique but et se découvrira à toi...
Amicalement,
La passagère.
#7
Posté 03 novembre 2007 - 02:41
#8
Posté 03 novembre 2007 - 05:12
si...on te comprend
si...on aime tes écrits
si...on adore ta personne de noir habillée
si...on aime ton noir: tes mots noirs , ton ame noir...
#9
Posté 03 novembre 2007 - 05:25
Mais peut-être ai-je trop la tête dans mes nuages pour n'y voir que ton mal.
Amitié.
#10
Invité_souris_*
Posté 07 novembre 2007 - 04:27
Je ne suis personne pour affirmer te comprendre... ce qui est certain c'est que je vois en toi au travers de tes écrits plus qu'une âme noire et des pensées négatives; je vois une envie d'avancer, un combat incessant entre tes deux moitiés; ne perd pas espoir et le combat cessera.
Mais peut-être ai-je trop la tête dans mes nuages pour n'y voir que ton mal.
Amitié.
J'ai dû faire une fausse manoeuvre que je ne sais pas corriger.
Mon message s'adresse à Imnothing.
Je note que tu crois devoir mériter l'amour....
Je ne pense pas que dans un premier temps, il en soit ainsi.
Patience, amicalement.
#11
Posté 18 janvier 2008 - 03:56
J'ai dû faire une fausse manoeuvre que je ne sais pas corriger.
Mon message s'adresse à Imnothing.
Je note que tu crois devoir mériter l'amour....
Je ne pense pas que dans un premier temps, il en soit ainsi.
Patience, amicalement.
Je regarde la date de mon écrit, et celle d'aujourd'hui.
et je ris.
patience?
n'est venu que la démence.