Quand un oiseau pépie au bout de la branche,
Ceci est un partage que nous offre cette vie.
Quand, peu à peu, les bourgeons prennent donc, ici,
Leurs places. Le printemps a donc sa revanche.
Après la mort, c'est donc une renaissance.
C'est une question qui taraude cet homme
Car il ne veut pas de ce dernier somme.
Comme beaucoup, il croit à une autre chance.
Quand l'enfant naît, il est alors tout innocent.
Qu'est ce qui le destine au bien ou mal ?
Son sort est engendré dans son encéphale.
Quant à l'oiseau, il ne compte pas les printemps.
Nous avons peur du néant et de cet après.
C'est pourquoi nous avons inventé une vie,
Soit la réincarnation, soit le paradis.
Moi, c'est sur chaque jour venu que j'écris.
Berhe ou Philippe Le Pelvé