L’été meurt sur mon corps
Ton visage meurt en moi
Et moi je meurs de toi
Ton parfum m’arrache la peau
Ton âge déforme mes mots
La chaleur accablante comme la froideur qui émane de tes yeux noirs
Me cloue les pieds au sol
Et je m’enivre de ton image
Me saoule de ta voix
Attache-moi sous le soleil blanc
Que je regarde encore ton sourire
Que je me torture avec la distance
Avec ton absence
Avec les brûlures