Emancipons-nous de l'esclavage mental,
Oubliant le ronronnement de l'ordinateur - sale
Des derniers biscuits et de café blafard -,
Les capitales démentes d'une revue quotidienne,
La télé et ses infos qui ne se tiennent,
La politique et tous ses canulars.
Et pourquoi pas les téléphones ?
Ces petites merveilles !
Leur réveil nous sonne
Alors qu'il suffirait d'un brin de soleil.