Le pitre à l’alexandrin
A revers, dos à dos des cadences parfaites
A l’envers, do à do décadence mais part faite
Au vers doux à danser hérité d’Erato
Sévérité du ton, célérité de trot
C’est vérité du fond sans cécité de forme
S’éviter les tréfonds, sans céder au conforme
C’est œuvrer pour Orphée en orfèvre à l’or frais
C’est le vrai en or fait, cessez les cris d’orfraie
Versez vers la douceur d’un temps d’alexandrin
ces vers, ces douze accords au tempo si serein
Que la sève et le vent enflent au son du corps
Où dansent Calliopé, Thalie et Terpsicore