Le temps n'avance plus
Telle une poussière qu'on ne peut enlever du mécanisme
L'air est lourd de sens, le clair obscur de la main de dieu illumine l'endroit
Il pleut comme si les divins pleuraient avec les mortelles
Le ciel est un tableau de la souffrance environnante
Certaines choses ne peuvent être réparées
Certains actes n'ont qu'une conséquence
Un aller simple pour le Styx
Une fois la corde couper par les Parques
On ne peut dire sortir d'excuses, seulement payer son voyage
Avant d'atteindre cette nouvelle terre, les souvenirs reviennent
La chaleur du soleil sur la peau, le vent avec ses envie de libertés
La douceur d'une femme, l'odeur de ses cheveux, le plus doux des parfums
La dernière boisson au gout du plus doux ambroisie
La douce et pauvre Eurydice qui presse de venir souffrir avec elle
Mozart jubile devant son Requiem
Le Spleen frappe toujours Baudelaire
Chopin cherche toujours le véritable Amour
Les Désirs de Liszt ne cessent de le poursuivre
Chaques Vies a sa quête, peu sont celle qui réussissent
Accuelli par Saint Pierre et les trompettes célestes