Que de nos pères sont les trésors oniriques
Quand dans nos peurs nous sentons l'éclat
De celui qui guide nos pas incertains de panique
Abreuvant les cœurs embrasés d'Aura
Sur les trottoirs pourpre, frémissent les silhouettes
De ceux qui fendent des astres miroitantes
Nous enfants des lumières, volons sur les conquêtes
Munis de nos âmes sur planches à roulettes
Néfaste sont les cadors jouant de poussière d'or
Qui quand au soir, sous l'ombre d'espoir
De vagues noirs, écumes leur hoir
Dans le décor de l'esprit, surfant sur l'essor
La douce brise mélodique quant à elle
Parfume nos horizons d’essence harmonique
Trouvant dans l'abîme la percée du ciel
Gardant le reflet des traits amnésiques
Dans ce monde, les étoiles sont cacique
Elles dansent pour des corps meurtris
Et chantent la mélodie des soleils antiques
Qui éclairent les âmes, en larmes d'infinis