Carpe diem
S’assoir et écrire un poème sans pensées
Contempler les étoiles et clore ses pupilles
Rafraichir sa sueur coulante d’une ondée
Et s’abreuver de l’eau que le ciel distille
Parcourant un corps féminin comme si jamais
Aucun doigt n’avait rencontré aucune chaire
Ma fièvre de vivre se met à respirer
Au rythme de l’impossible qui fuit dans l’air.
Oh mon Capitaine ! Mon bon Capitaine.
Le chemin que tu traces dépasse mon âme
C’est mon cœur qui marche, mes pensées sont des lames.
Oh mon Capitaine ! Mon bon Capitaine.
Debout sur un bureau, ma voie raisonne et crie
« Carpe Diem » ! Et ainsi peut commencer ma vie.