Le choc des mots présidentiels,
Engendrent des visages hagards d'automne,
S'effacent les larmes par le cri de la colère,
Peinant les plus fragiles de la société,
Accablés par l'insulte les "sans-dents",
Un jour de mai, ces sans-domicile fixe ont voté pour lui,
Villes de mendiants, de sans-abri, leur seul refuge est la rue,
Règnent des indifférences des uns et des autres, la souffrance est là,
Entre les citoyens modestes et lui, c'est la rupture,
Sera privé d'un second mandat par son l'électorat.
Hortensia