Quand elle vous découvre de son héritage
Quand elle vous chante sous les sillons
La fleur de ces nuits dont on oublie l'adage
A trop l'embrasser dans les bistrots d'adoptions
Non elle ne vous promet pas l'aurore
Bien qu'a l’orée des jours
Elle chante le timbre de l'or
Des âmes mortes au vague amour
Sur son trône de lumière
Une barge royale, flamboyante
Sur le flot d'un cœur pourpre
Le parfum d'argent dans ses paupières
Crève la nature sous un drap d'amiante
Et sur ses lèvres se tient un éventail d'ombres
Que des nobles ont foulés l'éternité
Croyant dans ses yeux, voir l'infini
Des petits prince, dont le corp
Reflète la grâce d'un condor
Gardez-vous de ce miroir
Une lame qu'on plante dans les cieux
Pénétrant l’innocence de quelques espoirs
Pour une ondée de larmes acanthes