Je veux que tu retrouves le printemps.
Tu dois revivre. Tu le mérites.
Oublies alors, ces satanées moments.
Tu feras revivre la joie, vite.
Gommes les lourdes peines du passé.
Pour t'épauler, je serai toujours là.
Je sais que ton corps a trop, trop crié.
Ton être souffreteux est bien trop las,
Alors, tu dois enfin te reposer.
Tu t'es sacrifiée pour les autres.
Il faut, un beau jour, savoir relâcher.
Tes souffrances sont aussi les nôtres.
Je veux que tu retrouves du plaisir,
Celui de vivre bien paisiblement.
Oublies les jours qui t'ont fait gémir.
Tu refleuriras un nouveau printemps.
Berhe ou Philippe Le Pelvé