Face à ton regard pillé,
Le cosmos est indéniablement étroit !
Mais quand tu me tiens enchaîné à ton ombre!
Quand tu me touches,
Et quand tu me parles
Je deviens dévoué!
Destiné à ton image
Je deviens alors sage.
Au sanctuaire de ton âme pillée,
Ton ivre haleine s’étale!
Me poétise à jamais,
Tel le miel sucré de ma province!
Ce matin mon amour !!
Volent déjà et planent librement
Autant de fois que la reine soleil,
Tes mains d’abeille!
Face à ton regard pillé,
Le cosmos est indéniablement étroit !
Mais quand tu me tiens enchaîné à ton corps!
Quand tu me touches,
Et quand tu me parles
Je deviens dévoué!
Destiné à ton image
Je deviens alors sage.
Lorsque tu avances vers moi,
Tes douillettes caresses m’inondent de plaisir.
S'éparpillent face à mon corps d'eau,
Tes frôlements exotiques.
Ensuite me remplissait d’aisance et d’invincibles liens,
L’instant de l’évidente affection !
Mais, depuis quelques absences, déjà ,
Le futur immobile se retrouve en arrière,
Comme si l’ombre d’aujourd’hui
Ne fut guère confiée au passé !
Et le cosmos endormi,
Mon amour,
À présent néant
Fut songe dans tes pompières de fleur!
Aujourd’hui,
La clémence n’est autre que l'orgueil,
l’orgueil abandonné dans un étang
Une mémoire fermée à clé![size=3]

Face à ton regard pillé
Débuté par badia, nov. 22 2007 06:53
Aucune réponse à ce sujet