De t’avoir tant aimée j’en délaissais la vie
De t’avoir tant aimée j’en oubliais l'envie
Tu ne sus reconnaître et admettre raison
Qu’il existe un destin transcendant nos saisons
Que véritable amour n’admet pas d’horizon
Ton mystère à jamais, particule de liaison
Nuits d’un noir d’encre lune, éternelles oraisons
Rien ne brise ton silence, tombe de verre et prison
Si le temps nous rapproche, ramène nos frondaisons
Vivre aujourd’hui sans toi n’est que pure déraison
De t’avoir tant aimée j’en oubliais la vie
De t’avoir tant aimée j’en délaissais l'envie