Au loin l'Alaric, là , derrière la coque,
Rocailles, garrigues irriguées de sentiers,
De cers, de marin blanc et de galops brûlants
Infusent sous le vent des parfums doux et ocre.
Ici, l'océan s'est jeté dans l'espace
Lui offrant un vertige, un visage.
Sans gravité, léger, je me lève et j'oublie
La laide sidérurgie des désirs attiédis.