
Dépression
#1
Posté 28 novembre 2007 - 07:19
Périclitant au fil du temps,cette bagasse avait fait de lui un bardon,
Des arcanes de l'Amour,elle en était la dyade,l'envers de ce qui est bon,
Il était la dilection,elle était de son Âme,la kyrielle de toutes ses détresses,
La vestale n'était que façade,la traîtrise se cachait en cette Bacchante,
Séide de sa passion,il ne pouvait point comprendre sa non résipiscence,
Tuant l'alcyon résidant en son coeur,elle ne voulait que concupiscence,
Il était aphasique,errant dans l'aporie de ses noires idées constantes,
Que fera t'il de sa vie,la finir ou la continuer?Ce choix de Buridan,
Qu'il n'aurait jamais voulu connaître,il l'aurait aimé en totale avulsion,
Mais les racines du mal sont profondes,il ne se fait aucune illusion,
Sachant qu'un jour de dépression,il oterait de sa vie ce triste carcan.
#2
Posté 28 novembre 2007 - 08:42
tu es Alcyon ,et tu as le pouvoir d'aplaner les textes....!!!
.....
amitié
#3
Posté 28 novembre 2007 - 10:51
et affranchir les carcans du sens, sans devenir aphasique...
#4
Posté 29 novembre 2007 - 12:13
Il otait de son éphéméride,chaque jour,sa charge de grande tristesse,
Périclitant au fil du temps,cette bagasse avait fait de lui un bardon,
Des arcanes de l'Amour,elle en était la dyade,l'envers de ce qui est bon,
Il était la dilection,elle était de son Âme,la kyrielle de toutes ses détresses,
La vestale n'était que façade,la traîtrise se cachait en cette Bacchante,
Séide de sa passion,il ne pouvait point comprendre sa non résipiscence,
Tuant l'alcyon résidant en son coeur,elle ne voulait que concupiscence,
Il était aphasique,errant dans l'aporie de ses noires idées constantes,
Que fera t'il de sa vie,la finir ou la continuer?Ce choix de Buridan,
Qu'il n'aurait jamais voulu connaître,il l'aurait aimé en totale avulsion,
Mais les racines du mal sont profondes,il ne se fait aucune illusion,
Sachant qu'un jour de dépression,il oterait de sa vie ce triste carcan.
comment faire lorsqu'on te jette en plein océan avec interdiction de ne pas te mouiller?nelà est il possible cher marquis?je ne le crois pas,comme tu le dis "les racines du mal sont profondes",ce qu'il faut c'est une euthanasie pure et simple de la vie.merveilleux texte cher ami,toi qui sait tout.
#5
Posté 29 novembre 2007 - 12:04
Je ne suis que le simple serviteur des mots.Bises Miss du soleil.toi qui sait, je ne peux jouer à l'apologiste devant l'apogée de tes mots
tu es Alcyon ,et tu as le pouvoir d'aplaner les textes....!!!
.....
amitié
Tu es de l'intelligence son fer de lance.Tu as recherché,voilà ce qui te différencie.Bises.anne, j'ai due lire et relire pour découvrir les arcanes des mots
et affranchir les carcans du sens, sans devenir aphasique...
Elle ne se fera que dans l'au-delà ,comme je l'ai déjà dis,nous sommes à l'école maternelle de la connaissance.Il faut prendre son mal en patience.Amitiés l'ange des temps nouveaux(à venir).comment faire lorsqu'on te jette en plein océan avec interdiction de ne pas te mouiller?nelà est il possible cher marquis?je ne le crois pas,comme tu le dis "les racines du mal sont profondes",ce qu'il faut c'est une euthanasie pure et simple de la vie.merveilleux texte cher ami,toi qui sait tout.
#6
Posté 29 novembre 2007 - 11:27
Au fait, tu as engagé quelqu'un pour te seconder dans les réponses aux commentaires?...
J'ai d'abord cru que tu filais du mauvais coton...et puis à voir la délectation avec laquelle tu manipulais les mots qu'on dira "savants", pour faire vite, il m'a semblé déceler une secrète ironie...finalement, il ne va pas si mal le Marquis...
Au fait, tu as engagé quelqu'un pour te seconder dans les réponses aux commentaires?...
#7
Posté 30 novembre 2007 - 11:49
et je ne suis pas encore allée chercher dans le dictionnaire ces mots "savants" c'est que tu nous instruis, cher Marquis...
#8
Posté 30 novembre 2007 - 02:07
Amitiés,H.
#9
Posté 30 novembre 2007 - 02:30
Non non tout va trés bien.L'ironie est toujours chez celui qui a une petite longueur d'avance.Mais je suis toujours là dans vos pensées.Amitiés le Charly.J'ai d'abord cru que tu filais du mauvais coton...et puis à voir la délectation avec laquelle tu manipulais les mots qu'on dira "savants", pour faire vite, il m'a semblé déceler une secrète ironie...finalement, il ne va pas si mal le Marquis...
Au fait, tu as engagé quelqu'un pour te seconder dans les réponses aux commentaires?...
J'ai d'abord cru que tu filais du mauvais coton...et puis à voir la délectation avec laquelle tu manipulais les mots qu'on dira "savants", pour faire vite, il m'a semblé déceler une secrète ironie...finalement, il ne va pas si mal le Marquis...
Au fait, tu as engagé quelqu'un pour te seconder dans les réponses aux commentaires?...
#10
Posté 30 novembre 2007 - 02:46
Il otait de son éphéméride,chaque jour,sa charge de grande tristesse,
Périclitant au fil du temps,cette bagasse avait fait de lui un bardon,
Des arcanes de l'Amour,elle en était la dyade,l'envers de ce qui est bon,
Il était la dilection,elle était de son Âme,la kyrielle de toutes ses détresses,
La vestale n'était que façade,la traîtrise se cachait en cette Bacchante,
Séide de sa passion,il ne pouvait point comprendre sa non résipiscence,
Tuant l'alcyon résidant en son coeur,elle ne voulait que concupiscence,
Il était aphasique,errant dans l'aporie de ses noires idées constantes,
Que fera t'il de sa vie,la finir ou la continuer?Ce choix de Buridan,
Qu'il n'aurait jamais voulu connaître,il l'aurait aimé en totale avulsion,
Mais les racines du mal sont profondes,il ne se fait aucune illusion,
Sachant qu'un jour de dépression,il oterait de sa vie ce triste carcan.
...
Grand malade, en son amour il s'en fit poser chaines...
Portant son âme en brassées de fleurs sauvages,
Lorsqu'Ã la ronce luxuriante de son doux visage,
Assis, prétant ses lèvres à des milliers de maux,
Paraphant le diable à chaque racine de ses mots,
Grand sot, de son amour il l'avait faite reine...
...
Un cap, matelot... un cap...
Bise. Marquis.
...
#11
Posté 30 novembre 2007 - 04:05
Ton absence me manque cruellement.....C'est peut être cela mes idées noires.Bises "ma" grande.Dans les mots de l'Amour, et dans ceux-là , ceux de l'affliction, de la chute, tu y excelles, pareil, idem, que dans ceux de la chair...la dépression...ce mal qui le ronge, le fait descendre par amour, vers ce plus bas où jamais il ne touchera le fond, ou si enfin il a cru le toucher, pouvoir se hisser, encore, remonter la falaise, s'accrocher aux pierres pas encore branlantes, et parfois encore se prendre les mains dans une faille, remonter un peu, et une pierre s'arrache, il retombe, moins profond qu'avant, l'Amour ancien se fait moins blessure, il voit à présent l'edelweiss, puis arrive à le sentir, il retrouve son propre parfum, n'est plus perdu dans cet Amour où il n'était plus que son ombre, enfin, à bout de ses propres bras il est remonté, a trouvé que l'air en haut était frais, gai et volatile...et tant de surprises auxquelles il ne croyait pas...la vie le surprend à nouveau...pourquoi ces pensées étaient-elles donc là ?...la nature, le ciel, tant à connaître, tant à apprendre, le temps viendra assez tôt et de lui-même...Musique de la vie...Très bel écrit...Toujours le même plaisir à te lire et le sombre est intéressant, il apporte une dimenson nouvelle. Amitiés Lotus Bleu
et je ne suis pas encore allée chercher dans le dictionnaire ces mots "savants" c'est que tu nous instruis, cher Marquis...
Ce qui a été,demeure éternellement en l'esprit,et de temps à autre un remake,un air qui revient.Bises la Miss des steppes.En effet ce sont des "racines du mal'' qui sèment la depréssion...Donc il faut les jeter.Mais est ce possible?
Amitiés,H.
...
Grand malade, en son amour il s'en fit poser chaines...
Portant son âme en brassées de fleurs sauvages,
Lorsqu'Ã la ronce luxuriante de son doux visage,
Assis, prétant ses lèvres à des milliers de maux,
Paraphant le diable à chaque racine de ses mots,
Grand sot, de son amour il l'avait faite reine...
...
Un cap, matelot... un cap...
Bise. Marquis.
...
Droit devant Miss Padej,les vents nous sont favorables...Et que les Dieux nous gardent.Bises à toi.