27 réponses à ce sujet

[captaim]

*

 

 

 

 

 

 

Croire au règne de Dieu

Et savoir qu'il arrive

 

C'est passer au mieux

Sur l'autre rive.

 

 

 

 

 

 

 

*

[hasia]

Si vous saviez comme j'aime cette belle sérénité douce, qui sous votre grâce, nous ravit!

 

Belle journée captaim.

hasia

[itans]

 

Si vous saviez comme j'aime cette belle sérénité douce, qui sous votre grâce, nous ravit!

 

Belle journée captaim.

hasia

 

 

Belle serenité douce ?....

[hasia]

                                                          

 

 

                                                            Les widgets ne remplacent en rien, une claire explication!

hasia

[itans]

                                                          

 

 

                                                            Les widgets ne remplacent en rien, une claire explication!

hasia

Jusqu'à la basse terre et entre ces deux fleuves,
que n'ai-je entendu là, qui monte d'un berceau.
Au bistre des geisers, il enfante ses veuves,
sangsues gorgées du naphte d'un lointain tombeau.

 

Et on l'aura creusé après leurs épousailles
sur des bris de mémoire, aux pieds d'une pâture,
quand le soleil couchant sur les côtes de mailles
brode un sang bleu pareil à l'encre où d'écriture,

 

cet obscurant fievreux accouche au fer de lance,

sur le sable campé, un temps voilant l'hideux.

Il sacre l'horizon en lettres d'ignorance,

or ces ténèbres lues, un jour, tairont les dieux...

 

 

" et je rajoute que ci-dessus, est mon commentaire au texte de captaim...

On peut être d'un avis different et ne pas partager votre ravissement.
Votre " nous " est intrusif. "

[Victorugueux]

je ne crois pas trop à une rupture avec ce monde

Ce monde, il n'est pas pire ni meilleurs qu'un autre

La montée vers le divin, c'est une chose multiple

Entre soi et la société, celle que nous formons
Le salut personnel se fait aussi avec les autres

[hasia]

Jusqu'à la basse terre et entre ces deux fleuves,
que n'ai-je entendu là, qui monte d'un berceau.
Au bistre des geisers, il enfante ses veuves,
sangsues gorgées du naphte d'un lointain tombeau.

 

Et on l'aura creusé après leurs épousailles
sur des bris de mémoire, aux pieds d'une pâture,
quand le soleil couchant sur les côtes de mailles
brode un sang bleu pareil à l'encre où l'écriture

 

fait naître un obscurant qui tient le fer de lance,

et campé sur le sable, un temps voile l'hideux.

Il signe l'horizon en lettres d'ignorance

et ces ténèbres lues, un jour, tairont les dieux...

 

 

  Merci pour votre réponse que je ressens, néanmoins, un brin obscure.

 

"Des signes chutent dans la paume de la main

C'est de la poussière du ciel

Des mots s'éclipsent et laissent des blancs

C'est le vide taillé dans l'écume

Une césure sur le chemin de l'ultime lumière."

Que la blessure se ferme,Tahar Ben Jelloun 

 

hasia

[itans]

 

 

  Merci pour votre réponse que je ressens, néanmoins, un brin obscure.

 

"Des signes chutent dans la paume de la main

C'est de la poussière du ciel

Des mots s'éclipsent et laissent des blancs

C'est le vide taillé dans l'écume

Une césure sur le chemin de l'ultime lumière."

Que la blessure se ferme,Tahar Ben Jelloun 

 

hasia

Comprend qui veut...
Il me semble être un brin dans le réel où ce qui descend du ciel n'est rien d'autre qu'un mâchefer qui obscurcit la vision de l'humaine quiétude.

et Il est des rives que je n'aborderais pas.
Le glauque et le saumâtre détruisent toute racine et installent des deserts jusque dans les coeurs devenus arides.

mais à chacun ses pâmoisons...

[hasia]

Bonjour itans,

 

 

Et même, -pour lacunaire et entravé que votre ajout soit-, je souhaite répondre sans détours.

L'Autre, nécessite le plus grand respect et la plus grande attention quant aux questions ontologiques, spiritualité, pratiques ...

Il n'est pas de coeur aride, il n'est que des traversées de déserts divers et variés.

 Epreuves, où nous sommes amenés à assumer, notre radicale pauvreté, notre finitude, notre incomplétude.

C'est un temps où l'homme prend conscience de sa faim d'Absolu.

 

"Il devient un marcheur qui, de campement en campement, n'en finit pas de passer de la servitude à la terre de liberté."

 

 

 

hasia

[itans]

Bonjour itans,

 

 

Et même, -pour lacunaire et entravé que votre ajout soit-, je souhaite répondre sans détours.

L'Autre, nécessite le plus grand respect et la plus grande attention quant aux questions ontologiques, spiritualité, pratiques ...

Il n'est pas de coeur aride, il n'est que des traversées de déserts divers et variés.

 Epreuves, où nous sommes amenés à assumer, notre radicale pauvreté, notre finitude, notre incomplétude.

C'est un temps où l'homme prend conscience de sa faim d'Absolu.

 

"Il devient un marcheur qui, de campement en campement, n'en finit pas de passer de la servitude à la terre de liberté."

 

 

 

hasia

Qu'est-ce que le respect sinon la considération que l'on peut porter à quelque chose ou quelqu'un dont on estme la valeur, si cette valeur-là est susceptible de nous élever, sans se sentir superieur.
Et "cet autre" sans humilité, puisqu'il porte un A majuscule, est-il digne de respect lorsqu'il  s'autorise à la ferocité, et se permet de décompter le temps de notre finitude ?

Et sa pauvreté à lui est justement de ne rien dispenser de Bon comme une indulgence à l'endroit de celui qui n'a pas soif d'absolu. Celui-là n'a rien de misericordieux.

L'eternité est un leurre, et les traversées du desert sont souvent une marche silencieuse qui permet de se retrouver soi-même et de rejoindre à nouveau le monde, sans fracas et dans la dignité.

Et on avance, on apprend, on se souvient de ce que fut l'être approximatif et on apprécie cet autre perfectible qui tend vers la serenité.

La sagesse, finalement.

Je peux mourir en paix.

[Victorugueux]

Dieu et les fouteurs de merde

 

Vous croyez à la douceur des religions? Désolé ce n'est pas comme cela que ça se passe... Malheureusement avec cette réalité humaine très crasse, il y a une solution plus classique, c'est qu'on va tous quelques soient nos convictions religieuses,  se taper sur la gueule à propos de Dieu, entre les islamistes, les juifs et les évangéliste américains, ils sont tous prêts à en découdre parce que c'est la prophétie de bidule de machin ou de truc car c'est dans leurs visions du monde du genre Armageddon, le Mahdi ou le 7ième imams, et tutti quanti... J'en ai plutôt marre de ces cons, ils sont partout et ils disent sciemment des conneries du genre des théories du complot... Tout est bon pour ces cons et ce sont toujours des complots qui sont en général contre leurs communautés... La vérité dans ce cas c'est qu'il existe des lobbies de l'armement et des affairistes qui sont prêts à tout... La masse énorme d'argent qui circule et les corrupteurs, qui sont pleins de fric et qui cherchent à canaliser à leurs avantages des fous plutôt idéalistes... Ceux-là qui sont surtout pour foutre en l'air toute cette société de merde... Ce soir je sais, je ne suis pas très gai mais la réalité des religions, elle est très cruelle, j'entends dire que les généreux socialistes français, ils se lavent les mains du sort des chrétiens de Syrie

[M. de Saint-Michel]

.

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[Victorugueux]

Dieu ? je n'en sais rien!

et ni moi, ni vous, ni Newton

Ne peuvent en parler

Dieu est indicible

[hasia]

Bonjour itans,

 

Merci de votre réponse qui selon moi, interroge sur quelques points.

 

Trop loin, trop long ici, selon moi.

 

Alors, je vais être brève!

 

Je ne veux que préciser l'emploi de l'Autre pour approcher: la personne ressentie et considérée dans son altérité.

 

L'Autre comme lieu de l'ics qui " pour le sujet parlant passe par les lois du langage avec ce qu'elles fondent des catégories du Symbolique, de l'Imaginaire et du Réel."

 

L'Autre, notion fondamentale et désignée comme le lieu de la Parole où la métonymie introduit le manque à être, comme signifiant du Désir." R. Lafon

 

Nous tirons beaucoup des autres. En cela, nous leur devons le respect, sans en attendre retour. Même si. 

 

hasia

[itans]

 

Bonjour itans,

 

Merci de votre réponse qui selon moi, interroge sur quelques points.

 

Trop loin, trop long ici, selon moi.

 

Alors, je vais être brève!

 

Je ne veux que préciser l'emploi de l'Autre pour approcher: la personne ressentie et considérée dans son altérité.

 

L'Autre comme lieu de l'ics qui " pour le sujet parlant passe par les lois du langage avec ce qu'elles fondent des catégories du Symbolique, de l'Imaginaire et du Réel."

 

L'Autre, notion fondamentale et désignée comme le lieu de la Parole où la métonymie introduit le manque à être, comme signifiant du Désir." R. Lafon

 

Nous tirons beaucoup des autres. En cela, nous leur devons le respect, sans en attendre retour. Même si. 

 

hasia

 

hasia,

 

j'ai toujours consideré l'autre, au 1er regard, comme mon semblable,

et

j'ai toujours établi comme allant de soi, le respect que l'un doit pour l'autre,

et

cet autre, dans ce qu'il peut representer à mes yeux, en disant sa difference, ou mon manque, c'est selon, peut de ce lieu de parole, élargir les limites

de mon champ de vision pour un monde qui m'était peut-être étrange, voire étranger.

Les rencontres ne demeurent pas toujours une ouverture au désir de reconnaissance de l'autre. Elles peuvent devenir aussi des malentendus...ou des antagonismes.

Et embrasser la nature humaine dans son universalité, comme une forme d'altruisme complètement désinteressé, est-ce possible, si ce n'est pour un observateur qui explique plutôt qu'il ne s'engage autrement que dans une neutralité bienveillante mais distante et qu'il se plaît à enseigner comme le principe-même de la sagesse.

L'existence est un spectable. On le joue toute sa vie. Et à chacun sa petite légende...

[hasia]

Re-bonjour itans,

 

J'approche et comprends votre point de vue, mais cependant, la neutralité bienveillante est une sagesse à tenir, devant la diversité du monde et de ses besoins immédiats.

 

L'engagement semble faible. Détrompez-vous .

 

Il exige bien plus qu'il n'y paraît.

 

L'existence, nous implique à chaque instant. 

 

Pour et par les Autres, -nous sommes nos actes-.

 

Notre vie psychique colore de manière spécifique nos relations aux autres.

 

L'intersubjectivité, pour attentive qu'elle soit, offre la dimension nécessaire où la rencontre entre réel, symbolique et imaginaire peut prendre effet.

 

hasia

[itans]

 

Re-bonjour itans,

 

J'approche et comprends votre point de vue, mais cependant, la neutralité bienveillante est une sagesse à tenir, devant la diversité du monde et de ses besoins immédiats.

 

L'engagement semble faible. Détrompez-vous .

 

Il exige bien plus qu'il n'y paraît.

 

L'existence, nous implique à chaque instant. 

 

Pour et par les Autres, -nous sommes nos actes-.

 

Notre vie psychique colore de manière spécifique nos relations aux autres.

 

L'intersubjectivité, pour attentive qu'elle soit, offre la dimension nécessaire où la rencontre entre réel, symbolique et imaginaire peut prendre effet.

 

hasia

 

hasia,

 

Saluons alors cet Honnête homme qui sait si harmonieusement joindre le geste à la parole,

et

persuadons-nous que même si l'intention est honorable, elle ne vaut jamais l'action...

 

Merci à toi.

[hasia]

Merci itans pour votre réponse et bonjour!

 

Excusez le délai, bien indépendant de ma volonté, mais je souhaite parachever notre propos sur " Bel Esquif".

 

Je vais faire clair!

 

Post de "Bel Esquif" par captaim, le 7 mars 2015 -12:15.

 

Post de mon commentaire, le 7 mars 2015-02:38

 

Votre post sur mon com, le 8 mars 2015-04:41, avec widget très connoté joint.

 

Post de votre poème"Echouage ..." dans le petit salon le 8 mars 2015 -6:44.

 

Ma demande  de claire explication sur la présence du widget connoté, le 8 mars 2015-9:33.

 

Votre post d'un rajout à la suite "d'Echouage ...", dans le petit salon le 9 mars 2015-6:39. "sérénité douce ... et widget souriant" pied de nez ou espièglerie? Je ne sais.

 

Votre post descriptif-poème aidant- Soit: "Echouage..." modifié le 10 mars 2015-08:45.

 

Ma réponse, écho à votre post, posté le 11 mars 2015-04:58.

 

Votre  troisième post , le 11 mars 2015-9:01. "Comprend qui veut ..." ... "mais à chacun ses pâmoisons ... " et widget souriant joint.

 

Ma réponse détaillée,  le 12 mars 2015-5:36.

 

Votre quatrième intervention, le  12 mars 2015-08:56.

 

Mon post du 14 mars 2015-04:47.

 

Votre cinquième post, le 14mars 2015-3:04. "... complètement désintéressé, est-ce possible, si ce n'est pour un observateur qui explique plutôt qu'il ne s'engage. L'existence est un spectacle . On le joue toute sa vie. Et à chacun sa petite légende ..."

 

 

Ma réponse du 14 mars 2015 -5:39.

 

Votre dernière intervention le 15 mars 2015-8:44." ... honnête homme qui sait si harmonieusement joindre le geste à la parole, et persuadons-nous que même si l'intention est honorable, elle ne vaut jamais l'action ..." 

 

Les finales relevées, portent cette dubitation itérative, qui révoque en doute ce qui précède, et permet ainsi de garder haute main sur ce qui précède.

 

 

Alors, à ce point du propos, que comptez vous faire; quant à ce widget-très connoté et sans fondement tangible-,

 

 qui dénature totalement mon ressenti et son expression quant à ce superbe poème de captaim-???

 

Bien à vous.

hasia

[Victorugueux]

Où commence et où finit l'autre ?

[hasia]

Où commence et où finit l'autre ?

 

 

 

Bonjour à vous,

 

Très bonne question!

 

En effet, il me paraît juste que chacun de nous -demeure comptable-, des égards dû à la fois -au poète- et à -chacun- des autres participants. 

 

Belle journée à vous.

 

hasia

[itans]

 

Merci itans pour votre réponse et bonjour!

 

Excusez le délai, bien indépendant de ma volonté, mais je souhaite parachever notre propos sur " Bel Esquif".

 

Je vais faire clair!

 

Post de "Bel Esquif" par captaim, le 7 mars 2015 -12:15.

 

Post de mon commentaire, le 7 mars 2015-02:38

 

Votre post sur mon com, le 8 mars 2015-04:41, avec widget très connoté joint.

 

Post de votre poème"Echouage ..." dans le petit salon le 8 mars 2015 -6:44.

 

Ma demande  de claire explication sur la présence du widget connoté, le 8 mars 2015-9:33.

 

Votre post d'un rajout à la suite "d'Echouage ...", dans le petit salon le 9 mars 2015-6:39. "sérénité douce ... et widget souriant" pied de nez ou espièglerie? Je ne sais.

 

Votre post descriptif-poème aidant- Soit: "Echouage..." modifié le 10 mars 2015-08:45.

 

Ma réponse, écho à votre post, posté le 11 mars 2015-04:58.

 

Votre  troisième post , le 11 mars 2015-9:01. "Comprend qui veut ..." ... "mais à chacun ses pâmoisons ... " et widget souriant joint.

 

Ma réponse détaillée,  le 12 mars 2015-5:36.

 

Votre quatrième intervention, le  12 mars 2015-08:56.

 

Mon post du 14 mars 2015-04:47.

 

Votre cinquième post, le 14mars 2015-3:04. "... complètement désintéressé, est-ce possible, si ce n'est pour un observateur qui explique plutôt qu'il ne s'engage. L'existence est un spectacle . On le joue toute sa vie. Et à chacun sa petite légende ..."

 

 

Ma réponse du 14 mars 2015 -5:39.

 

Votre dernière intervention le 15 mars 2015-8:44." ... honnête homme qui sait si harmonieusement joindre le geste à la parole, et persuadons-nous que même si l'intention est honorable, elle ne vaut jamais l'action ..." 

 

Les finales relevées, portent cette dubitation itérative, qui révoque en doute ce qui précède, et permet ainsi de garder haute main sur ce qui précède.

 

 

Alors, à ce point du propos, que comptez vous faire; quant à ce widget-très connoté et sans fondement tangible-,

 

 qui dénature totalement mon ressenti et son expression quant à ce superbe poème de captaim-???

 

Bien à vous.

hasia

 

hasia,

 

Quel sens secondaire pourrait donc avoir mon sourire ?

Rien de méchant, rassurez-vous.

Ce n'est pas ma nature.

Il a suscité néanmoins une réaction, et a permis que deux differences ne retranchent rien à ce qui peut les diviser.

Et qui ajoutera peut-être au silence qui vient...

 

Quant à la poèsie, à chacun de ressentir ce qui nous rapproche ou ce qui nous unit à l'univers du poète.

Elle révèle ou elle sous-entend. Où vont nos préferences ?

Et la beauté peut être de ce monde-ci. Ou pas...

 

Un certain regard et mon sourire bienveillant.

 

itans.
 

[hasia]

Bonsoir itans,

 

Merci de votre réponse.

 

Cependant, je ne vous comprends plus. 

 

Pour m'attacher à la prégnance des mots que vous  prônez, "persuadons-nous que même si l'intention est honorable, elle ne vaut jamais l'action ...";

 

J'attends que vous accordiez votre propre commentaire  à "Bel Esquif", indépendamment du mien,

 

car vous en avez  trahi le sens avec ce widget tout à fait inapproprié.

 

Je n'aime, ni la fusion ni la confusion et sachez, que je ne m'immisce jamais, dans les commentaires des autres. 

 

Soyez donc"Grand Seigneur".

 

Agissez utile.

 

Effacez donc, ce widget inqualifiable, qui accompagne mes mots, destinés au commentaire de "Bel Esquif". Merci.

 

Bonne soirée.

 

hasia

[itans]

 

Bonsoir itans,

 

Merci de votre réponse.

 

Cependant, je ne vous comprends plus. 

 

Pour m'attacher à la prégnance des mots que vous  prônez, "persuadons-nous que même si l'intention est honorable, elle ne vaut jamais l'action ...";

 

J'attends que vous accordiez votre propre commentaire  à "Bel Esquif", indépendamment du mien,

 

car vous en avez  trahi le sens avec ce widget tout à fait inapproprié.

 

Je n'aime, ni la fusion ni la confusion et sachez, que je ne m'immisce jamais, dans les commentaires des autres. 

 

Soyez donc"Grand Seigneur".

 

Agissez utile.

 

Effacez donc, ce widget inqualifiable, qui accompagne mes mots, destinés au commentaire de "Bel Esquif". Merci.

 

Bonne soirée.

 

hasia

 

 

 

hasia,

 

Je n'ai aucun problème à retirer ce sourire dont vous faites une interprétation erronnée qui semble heurter votre intégrité.

 

Je ne suis pas "Grand Seigneur" , ( dois-je en sourire ? ) mais simplement sensible à votre malaise d'avoir lu un quelconque discrédit de ma part à votre endroit et je perçois ce que cet emoticône affiché a pu susciter en vous,

 

un quant-à-soi touché. Ce que je comprends.

 

cependant que dans le même temps,

vous  m'interpretez mal et me jugez encore plus mal, en particulier dans ce que le mot " inqualifiable " signifie à mon encontre : injustifiable, honteux, bas: odieux,  inavouable,  inconvenant...

Je pourrais m'en offusquer. Mais non.

 

Être indigne, ce n'est pas cela, mais passons...

Vous voyez qu'une intention, et celle-là si peu honorable à vos yeux, peut être suivie d'une action qui reconnaît sans orgueil aucun, la valeur de l'autre dans sa légitimité.

C'est agir bien, sinon juste.

 

Vous êtes libre de ne rien changer quant à votre opinion à propos de ma personne.

Je vous pardonne d'ores et déjà vos excés de langage.

 

Et comme je ne suis pas homme à m'obseder pour le mot de la fin, je vais de ce pas, pour ne pas vous torturer davantage, effacer ces deux plis à la commissure de mes lèvres, ceux que vous ne saurez voir plus longtemps.

 

[hasia]

Bonjour itans, 

 

Merci de votre réponse circonstanciée .

 

Et je vous remercie de votre geste.

 

Désolée, que le mot "inqualifiable" vous envoie sur la perception d'un jugement de valeur quant à vous.

 

"Inqualifiable" ici, signifiait: indu, gratuit, injustifié, infondé.

 

Pour des raisons tout à fait personnelles, je n'ai -aucunement- l'habitude de "jeter "le bébé" avec l'eau du bain.

 

Et même si le langage nous apporte -toujours- des éléments de compréhension quant à l'interlocuteur,

 

-que vous le croyez ou non-, je laisse toujours mon jugement en suspens.

 

Nous n'essayons, que de comprendre le poème, lui être fidèle, et rien d'autre.

 

Heureuse d'avoir pu vous connaître un peu-mieux-.

 

A vous lire volontiers, dans un a-venir, plus ou moins proche.

 

Bien à vous.

 

hasia

[Cyraknow]

Un poème serein, en effet, dont j'aime la brièveté de propos.

[itans]

 

Bonjour itans, 

 

Merci de votre réponse circonstanciée .

 

Et je vous remercie de votre geste.

 

Désolée, que le mot "inqualifiable" vous envoie sur la perception d'un jugement de valeur quant à vous.

 

"Inqualifiable" ici, signifiait: indu, gratuit, injustifié, infondé.

 

Pour des raisons tout à fait personnelles, je n'ai -aucunement- l'habitude de "jeter "le bébé" avec l'eau du bain.

 

Et même si le langage nous apporte -toujours- des éléments de compréhension quant à l'interlocuteur,

 

-que vous le croyez ou non-, je laisse toujours mon jugement en suspens.

 

Nous n'essayons, que de comprendre le poème, lui être fidèle, et rien d'autre.

 

Heureuse d'avoir pu vous connaître un peu-mieux-.

 

A vous lire volontiers, dans un a-venir, plus ou moins proche.

 

Bien à vous.

 

hasia

 

 

hasia,

 

Merci à vous d'avoir planté ce décor d'aparté.

On en sort plus indulgent.

 

Même pour la mouche du coche que je suis parfois. On ne se refait pas...

 

itans.

[hasia]

Bonjour itans,

 

Il n'est pas bon de se dévaloriser de la sorte. 

 

J'ai approché une certaine sensibilité, une réflexion différente ...Vôtres.

 

Je cherche, depuis très longtemps, la clé du commentaire qui ne soit ni projection ni autre et qui s'approche, au mieux, du mystère du poème ...

 

Pas simple. Pas simple. Mes principes sont serrés. Même en y prêtant le plus grand soin, l'affaire n'est pas mince!

 

 

"On ne peut pas tout à fait savoir la pensée, ce que nous sommes, parce qu'on ne peut pas tout à fait savoir la non-pensée, ce que nous ne sommes pas."

 

Alors, comment trouver le juste commentaire?

 

"Un regard qui serve à effacer la circonférence et à conserver le centre. Un don qui serve à effacer la main et conserver l'offrande."

 

roberto juarroz : fragments verticaux (un très bel ouvrage)

 

Belle journée printanière!

 

hasia

[hasia]

Bonjour itans,

 

Nota:

 

suite à votre rajout de votre post- commentaire du10 mars2015-7:45 au texte de captaim...

 

 

"..., qui sous votre grâce, nous ravit!" hasia

 

" et je rajoute que ci-dessus, est mon commentaire au texte de captaim...

On peut être d'un avis différent et ne pas partager votre ravissement.
Votre " nous " est intrusif. "

"Intrusif ", certes pas.

Ce n'est qu'un petit pronom personnel, dont la valeur sémantique n'est qu'un pluriel de modestie.

Rien qui ne soit destiné à quiconque , sinon à la formulation du commentaire de "Bel Esquif".

 Rien donc, qui ne s'apparente à une quelconque "intrusion"; sachant que mon commentaire a été le premier.

hasia