
Les épistoliers
#1
Posté 02 décembre 2007 - 11:15
Son amie de Madrid qui ne lui écrit plus
Paraissant l'oublier ? Elle était toute belle
Dix-sept ans en arrière. Elle lui avait plu.
En retournant chez lui, une correspondance,
Entre les deux pays, s'établit quelque temps.
Il lui parlait des gens de sa terre de France,
Elle lui répondait d'un plaisir persistant.
Elle était fort curieuse, et ça plaisait à l'homme.
Avait-elle pour lui quelconque sentiment ?
Il le croyait alors, car elle écrivait comme
Une timide enfant voilant son cœur aimant.
Mais il ne se fit plus aucun autre voyage
Pour rapprocher encor les deux épistoliers.
Et peu à peu cessa son précieux babillage
L'Espagnole en coupant ses longs ponts de papiers.
L'homme repense à elle en les lieux où il passe,
Il aurait tant voulu les lui montrer un jour.
Quand, leur correspondance amicale, il repasse,
Il revoit nettement son regard de velours.
#2
Posté 02 décembre 2007 - 11:16
bisous Béa....
#3
Posté 02 décembre 2007 - 11:19
Merci tout plein, Domije l'adore celui là ...
bisous Béa....

Bon dimanche que je te souhaite moins pluvieux qu'ici à Paris !
Bisous,
Béa
#4
Posté 02 décembre 2007 - 11:24
#5
Posté 02 décembre 2007 - 06:03
Contente de te retrouver
J'ai aimé je vais à nouveau le relire
A bientôt
Bisous
J'espère que tu m'a reconnue
il est vrai que tu connais mon Avatar.
Bisous
#6
Posté 03 décembre 2007 - 12:42
Il s'interroge encor. Mais que deviendrait-elle,
Son amie de Madrid qui ne lui écrit plus
Paraissant l'oublier ? Elle était toute belle
Dix-sept ans en arrière. Elle lui avait plu.
En retournant chez lui, une correspondance,
Entre les deux pays, s'établit quelque temps.
Il lui parlait des gens de sa terre de France,
Elle lui répondait d'un plaisir persistant.
Elle était fort curieuse, et ça plaisait à l'homme.
Avait-elle pour lui quelconque sentiment ?
Il le croyait alors, car elle écrivait comme
Une timide enfant voilant son cœur aimant.
Mais il ne se fit plus aucun autre voyage
Pour rapprocher encor les deux épistoliers.
Et peu à peu cessa son précieux babillage
L'Espagnole en coupant ses longs ponts de papiers.
L'homme repense à elle en les lieux où il passe,
Il aurait tant voulu les lui montrer un jour.
Quand, leur correspondance amicale, il repasse,
Il revoit nettement son regard de velours.
...
"L'Espagnole en coupant ses longs ponts de papiers."
Magnifique Madrilène !
Lorsqu'un coeur chavire, il s'en souvient toujours...
Amitié.
...
#7
Posté 03 décembre 2007 - 01:53
Beau temps sur le sud ouest.....bonne journée Béa...
Eh bien chez nous c'était de tempête en fait, ils l'ont dit à la télé... Mais aujourd'hui il fait beau. J'espère que cela continue du côté de Bordeaux.
Bises,
Béa
Bonsoir Béa
Contente de te retrouver
J'ai aimé je vais à nouveau le relire
A bientôt
Bisous
J'espère que tu m'a reconnue
il est vrai que tu connais mon Avatar.
Bisous
Bien sûr que je t'ai reconnue et te l'ai dit ailleurs... Merci d'être passée sur mon poème. Contente aussi de te voir ici

Bises,
Béa
...
"L'Espagnole en coupant ses longs ponts de papiers."
Magnifique Madrilène !
Lorsqu'un coeur chavire, il s'en souvient toujours...
Amitié.
...
Ah, j'aimerais bien être Madrilène, mais je suis Française et même pas Parisienne... Cela dit, mon coeur reste encore uni à Madrid où j'ai vécu tant d'années.
Merci Padej !
Amitiés,
Béa