Au zénith, la sphère dorée distribue ses rayons sur la baie.
Là, les gerbes rafraichissantes formées par les surfs scintillent dans un air léger.
Qui porte le rythme reposant d'un jazz métissé, décéléré.
Couvert, à deux rue de là, par la circulation effrénée;
sur les routes de bitume ou de terre qui s'achèvent au sommet des favelas
où l'air atone reprend ses droits.