J'y parle de trains, de nuits qui étincellent comme des étoiles,
De traînées de mots et de silence, d'essences fugitives et de fragments de tissu céleste.
Sans la lumière, rien de ce monde n’existerait.
Et c’est pour cela que les mourants sont effrayés par la nuit qui les tire à elle.
Sans la lumière personne n’ouvrirait la bouche. Les oiseaux resteraient muets comme des tombes.
Ah! si je pouvais seulement diluer un peu de lumière dans le son de ma voix.