Ma lyre embrasée sous l'avril, éveil ses hanches vibrantes,
au retour des pluies quand s’écoule, l'ébauche, de mon cœur battant,
en divin apprenti, découvrant les parfums de la fleur béante,
où secousses les spasmes de ma vie sur son corps de printemps
Les bouches percées de rougeur, d'essentielles douceurs enivrantes,
pour monter dans le cou de la grâce et atteindre les baisers si ardent,
descendant s'abreuver au milieu de la blouse d'une soif vibrante,
elles iront s'enlacer, sur les flancs arrondit d'un bassin invitant,
Le cadeau de ses troubles passion, arrivent sur des lèvres remuantes,
affamées, les deux mains dans le cou, aspirant d'une manière persistante,
la verve frénésie, qui récite de son timbre avide, la longue escalade du oui
Pour ouvrir l'espace vital et entrer les pieds nus, dans la flore seyante,
Où je sens de partout, la fraîche rondeur de ses fruits, aux saveurs suantes,
quand jaillit de mon être l'extase, d'être deux dans la même et seul vie...
Protoss