D’aucuns ne me disent où il se terre
Celui qui me brisera finalement le cœur,
Celui de qui viendra peut-être la lumière,
Ainsi vainqueur de mes doutes et mes peurs.
D’aucuns ne m’apprennent à tenir la main
De celui qui me tendra vigoureusement la sienne.
Je me plierai à ses désirs sans soif ni faim
Pourvu que mes espoirs d’amour adviennent.
D’aucuns n’écoutent le son lourd de ma voix
Et lui traduisent le sens confus de mes mots,
Afin de l’accompagner doucement jusque moi,
Que se croisent nos regards et se rencontrent nos peaux.
D’aucuns ne chantent enfin cette douce mélodie
Que les battements de mon cœur suivront allégrement,
Pourvu qu’en racontant l’histoire obscure de ma vie,
Il y ait bien plus à dire que ses tristes et pénibles moments.