Se subornaient sous tes paupières, de liesses,
Les lueurs qui ripaient tes regards de femme
Sur les neiges se tapissant devant la flamme
Que rallumait autrefois tes mains, de caresses.
S'étouffait lentement en ton cœur, de tristesses,
L'amour qui inoculait la blancheur de ton âme,
Et le baume que vidaient les fleurs sur sa trame
Enivrait jadis, les poètes courtisans, sans cesses.
Flétrissaient progressivement, comme des fleurs
Ta beauté et ta jouvence devant tes miroirs rieurs ;
Se recourbait en marchant, sur le layon du temps
Ton âge qui voulait se reverdir demain à nouveau,
Mais sous ses laines, il retrouvait le vieux nigaud
Qu'il en avait abandonné sur son chemin, pédant.
farid khenat.
non erreur ! Tilawin ur d-harant ara. erreur.
les femmes n'ont rien avoir ici.