La princesse du temps ;
Princesse du temps,
Sempiternelle, à la fin
Et au commencement
Tu es la fleur
L’invasion
Et moi le sauvage
Libération
De quoi me parlais-tu ;
Je me souviens. Toi
Fleuraison
Le chant et les racines.
N’as-tu jamais songé à la pluie ?
Tu es le prisme et la lumière
Qui change la loi
Dehors le soleil brille
Pourquoi fait t-il si froid ?
Je ne sais pas…
Le bonheur m’a trahi.
Sans bruit
Lumière sans loi
D’une saison à l’heure méconnue ;
Je cherche lueur
Dans le froid.
Le bonheur m’a trahi.
Sans bruit
Tu es le prisme
Tu es ma lumière
Qui change la loi
Nous irons marcher
Et jamais, au grand tord
D’avoir été ; heureux
En marchand, muet tranquille
Et criant des mots doux
Brillent sur ton corps, tes yeux, musiques
Avant que je parte, reparte sur l’ile
D’étoiles
Désert,
Achevé de ma solitude ;
Reviens à moi.
Rien, cela n’est rien que l’ombre pareil
En ces lieux que seul le temps lui-même traverse sans rien abimer
Kim 2012