"sonnet néo-classique"
Ma fronce est vieille comme ma grand-mère
Et sa tombe qui s'ouvre avec chaque matin
Porteur de lumière, se ferme aussi vers sa fin
Lorsque la nuit s'allonge noire en ses repères.
Le temps est somptueux autour des lisières
Lui retenant ses ....pieds au pourtour du déclin ;
La nuit est souvent aveugle sur son chemin
Qui s'égare en mes yeux comme sa lumière,
Et ma fronce profonde, comme ma perdition
Et ma plaie, elle saigne encore dans l'érosion
Qui creuse en mes yeux ses grands méandres.
J'ai pris le vent pour m'envoler vers ma mort
Et j'ai déchiré les grands espaces des cendres
Mais j'ai oublié mon âme, vive en mon corps.
farid khenat et dorothée.
Thu, 28 Sep 2006 22:06:53 +0200
À: farid_khenat@yahoo.fr
Objet: L'incontournable défiance. sonnet néoclassique.
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Bonjour Farid Khenat,
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l'incontournable défiance.
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Invité_ermite_*
, mars 25 2007 07:05
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