C’est vrai que tu en as ma chérie de la chance
Quand tu as épuisé tous mes élans d’amour
De pouvoir aussitôt ou de nuit ou de jour
Remettre tout ton corps à nouveau en balance.
En tant qu’homme bien sûr je savais par avance
Avant de commencer à te faire la cour
En voulant te séduire par de jolis discours
Que je ne pourrai pas maintenir la distance.
Un seul homme pour toi ce n’est pas suffisant
Car à un corps de femme il faut plus d’un amant
Deux ou trois peu importe mais il en faut plusieurs.
Ton sexe inassouvi fait mon admiration
De savoir ton besoin d’aller l’offrir ailleurs
Mais je t’aime et te garde entière ma passion.