Vêtement
#1
Posté 14 janvier 2008 - 10:35
Sur la peau noire de tes couleurs
Un vêtement
Ce Nous
Accolé aux promesses du soir
Puis j'ai envié la nuit
Métisse et onctueuse
Portée à bout de bras
Par cette trop courte éternité
Je ne voyais que nos contours
- Immobiles parures -
Jusqu'au petit matin
Sorti de l'ombre
Où tu disparaissais
Vêtu de tes couleurs
Ou
J'ai déposé
Sur la peau noire de tes couleurs
Un vêtement
Ce Nous
Accolé aux promesses du soir
Puis j'ai envié la nuit
Métisse et onctueuse
Portée à bout de bras
Par cette courte éternité
Je ne voyais que nos contours
- Immobiles parures -
Jusqu'au petit matin
Sorti de l'ombre
Où tu disparaissais
Vêtu de tes couleurs
#2 Invité_Charlie_*
Posté 14 janvier 2008 - 10:42
#3
Posté 14 janvier 2008 - 11:00
Au départ, je suis partie d'un titre de livre "Le livre noir des couleurs", destiné aux malvoyants. Puis, j'ai légèrement biaisé, lol...
#4 Invité_Apocope_*
Posté 14 janvier 2008 - 11:17
#5
Posté 14 janvier 2008 - 11:40
#6
Posté 14 janvier 2008 - 11:49
La fin cafouille un peu, un problème de respiration à trouver, de phrase un peu longue, qu'est-ce que tu en dis Domi?
#7
Posté 14 janvier 2008 - 12:20
Merci messieurs.
La fin cafouille un peu, un problème de respiration à trouver, de phrase un peu longue, qu'est-ce que tu en dis Domi?
Moi je déboiserais la fin un peu à mon humble avis (lol) là je n'ai pas trop le temps, j'ai rdv avec du bisness (légal of course) (lol) je suis obligé d'y aller, j'ai quelques factures qui traînent, je te ferais une proposition cet aprèm yes !
bisou poètesse....
#8
Posté 14 janvier 2008 - 12:24
Peut-être laisser :
"Où tu disparaissais"
en suspension, et ôter :
"Vêtu de tes couleurs"
Puisque le début est :
"Sur la peau noire de tes couleurs
Un vêtement"
?
Je ne sais, la répétition en écho était assez sympa. ^^
#9
Posté 14 janvier 2008 - 03:24
J’ai pris la tendre figue qui me tendait ses lèvres
Je l’ai pris dans mes doigts et j’ai mordu dedans
Alors j’ai senti fondre sur ma langue et mes doigts
la chair douce et sucrée de ce fruit noir et sombre
Bisous Carla
Alain
#10
Posté 14 janvier 2008 - 04:16
J'ai déposé
Sur la peau noire de tes couleurs
Un vêtement
Ce Nous
Accolé aux promesses du soir
Puis j'ai envié la nuit
Métisse et onctueuse
Portée à bout de bras
Par cette trop courte éternité
Je ne voyais que nos contours
- Immobiles parures -
Jusqu'au petit matin
Sorti de l'ombre
Où tu disparaissais
Vêtu de tes couleurs
sauvé par le gong (lol) tu vas bientôt débaucher, oh ! que le terme est vilain....voilà à ta demande comment je le vois !
j'enleverais 'par cette trop courte éternité' 'jusqu'au petit matin'
J'ai déposé sur la peau noire
De tes couleurs
Un vêtement
Ce nous accolé aux promesses du soir
Puis j'ai envié la nuit
Métisse et onctueuse
Portée à bout de bras
Je ne voyais que nos contours
Immobiles parures
Sorti de l'ombre
Où tu disparaissais
Vêtu de tes couleurs...
cela fera 250 euros, si tu pouvais me les donner en liquide, cela m'arrangerait, j'ai du mazout à faire rentrer (lol)
trève de plaisanterie, tu n'as pas besoin de moi pour t'exprimer, tu le fais si bien seule...
bisous et bonne soirée....
#11
Posté 14 janvier 2008 - 06:12
"Par cette trop courte éternité"
qui pose problème, ce vers casse le rythme de lecture,
c'est lourd, le "trop", le courte" se succèdent bien trop vite et coupent la lecture,
et c'est dommage, car pour le reste, c'est un très beau texte,
dans lequel il est plaisant de rentrer.
Merci
Kalash Nikov.
#12
Posté 15 janvier 2008 - 09:49
"Par cette trop courte éternité" est effectivement trop différent. L'enlever, non, mais l'alléger, oui, j'enlève ce "trop":
J'ai déposé
Sur la peau noire de tes couleurs
Un vêtement
Ce Nous
Accolé aux promesses du soir
Puis j'ai envié la nuit
Métisse et onctueuse
Portée à bout de bras
Par cette courte éternité
Je ne voyais que nos contours
- Immobiles parures -
Jusqu'au petit matin
Sorti de l'ombre
Où tu disparaissais
Vêtu de tes couleurs...