De : L. A. de J.
Je ne suis pas poète ; moi je suis juste, un être : qui cri par sa fenêtre ; que la vie peut mieux être.
Mieux être est une idée ; qu'il faudrait développée : chercher à évoluer ; vouloir s'illuminer.
Je peux écrire des vers ; je m'amuse à le faire : et si ça peut vous plaire ; un peu vous satisfaire.
Vous parlez de l'amour ; en parler sans détour : en faire des discours ; en parler tous les jours.
Ne pas trop calculer ; pas compter les versets : les pieds ou les sonnets ; juste, écrire pour parler.
Parler d'un autre monde ; ou la paix, elle inonde : ou les gens font des rondes ; dans une joie profonde.
Moi, je n'ai pas appris ; les vers et les écrits : j'suis pas un érudit ; l'école, moi, je l'ai fui.
J'ai appris sur le tas ; la vie et l'au-delà : moi j'ai levé les bras ; pour rester ici-bas.
Ici-bas c'est l'enfer ; il faudra tout refaire : ce monde de misère ; est vraiment un calvaire.
Si tu cherches à comprendre ; tu ne peux, te m'éprendre : moi, je n'ai rien à vendre ; je prône, une vie tendre.
Une vie, dans le respect ; sans remords, ni regrets : juste, une vie plus vraie ; du père, être plus prêt.
Une vie avec amour ; ou tout le monde est pour : apprendre sans détour ; et sans jouer, de tour.
Apprendre à se connaître ; pour ensemble mieux être : et laisser le paraître ; en dehors de nos êtres.
Car être ou ne pas être ; la, n'est pas la question : tu es d’abord un être ; et pas un Cro-Magnon.
De L.A de J.