De L. A. de J.
J'aimerais comprendre, pourquoi ; je cris, et je suis aux abois : pourquoi je fais n’importe quoi : pourquoi je cours à travers bois ?
à travers bois, je tiens ta main ; avec toi, je me sens bien : se promener, oui, aller viens ; nous parlerons, sur le chemin.
Sur le chemin, de notre vie ; on marche, on court, et puis on crie : et on se fait, bien des soucis ; la vie ici est en sursit !
en sursit, oui, on y est ; on a produit, on a trop fait : et en retour, y'a des effets ; ce qu'on a fait, n'est pas parfait.
N'est pas parfait, notre chemin ; n'est pas facile, notre destin : nous ne sommes que, des hêtres humains ; qu'ont oubliés, qu'ils sont Divins,
ils sont Divin, ça faut le voir; ne pas laisser le désespoir : nous embrumer notre miroir ; apprendre à voir, pour mieux y croire.
Y croire, en soi, croire en son soi ; et ce n'est pas ce que l'on croie ; non ce n'est pas porter la croix ; c'est juste suivre, la voie en soi,
la voie en soi, je la connais ; j'en ai étudié, des effets : et toi aussi, c'est c' que tu fais ; vivre la vie, et ses succès.
Ses succès, on oublie souvent ; on fait la pluie et le beau temps : oui nous on crée, notre présent ; et on oublie bien trop souvent,
bien trop souvent, on est perdu ; la vie pour nous est inconnue : et puis on joue les ingénus ; on fait semblant, d'croire qu'on à vue.
Croire qu'on a vu, qu'on a rêvé : à une autre, réalité : bien que les rêves soit mélangés ; ils nous parlent, de, la vérité,
la vérité, on cour après ; pourtant son soi, on le connais : mais en surface, ce qui parait ; ce ne sont que, quelques effets.
à suivre. De L. A. de J.