De L.A. de J.
Bonjour,
L'école des petits ; elle ne m’a pas fait envie : et l'école des grands ; c'était y'a bien longtemps.
Merci à vous, amis (es) ; qui lisez mes écrits : vous dites des mots gentils ; moi je vous remercie.
Moi si j'écris comme ça ; pour parler ici-bas : c'est naturel en moi ; ce rythme-là, me va.
Pour parler de la vie ; pour aider des amies : pour donner mon avis ; répondre à des soucis.
C'est que j'ai vu, un hic ; c'est peut-être un déclic : qu'est-ce que vous me dites ; quand vous dites "classique".
En tout cas, je m’amuse ; de cette façon je ruse : et même j'en abuse ; les femmes sont mes muses.
Moi, j'en écris des pages ; je ne sais, si c'est sage : peut-être faire un ouvrage ; m’appliquer davantage.
Oui, peut-être essayer ; de me canaliser : pour les vers, les compter ; écrire des sonnets.
Mais je suis trop souillon ; ma vie est un brouillon : je baigne dans un bouillon ; j' en perd même, la raison.
J'ai fait trente-six métiers ; j'ai des facilités : à trop vouloir aider ; j'ai même déprimé.
Maintenant, j'ai pris de l’âge ; je me pose davantage : j'écris et je partage ; et puis je rends, hommage.
Un hommage à la vie ; La Versification, j'écris : Le huit est infini : et nous sommes en huit.
Je remercie, la vie ; les anges, et les amis (es) : mais nous sommes en sursis ; la vie elle se détruit.
Si l'humain se laisse faire ; bientôt la vie sur terre : ne sera, que désert ; quoi-donc pourrait-on faire.
La remercier, la vie : la respecter, aussi : partager des écrits ; lui dire, qu'elle est jolie.
Lui dire, qu'elle est belle ; que moi, elle m'ensorcelle : que l'amour, j’amoncelle ; qu’en moi, pousse des Ailes.
De L. A. de J. Salutations.