Tout ce que nous écrivons doit, fût-ce de façon implicite, répondre à cette simple question que chaque être humain se pose : « quelles sont les raisons d’espérer ? ». Dès lors, le chagrin, fût-il le plus noble, ne peut constituer le sujet exclusif d’une œuvre littéraire . D’une façon ou d’une autre, il faudra , si une œuvre veut accoster aux rivages de l’avenir, qu’une « apparence de soupirail [blêmisse] le coin de la voûte ».
14/1/18