Sur le papier consanguin de mes maux,
où je me délie d’anamour ;
je déraisonne en demi-teinte,
à demi-mot,
à demi-nu…
Alors,
sous des allures discrètes,
sans arrogance aucune,
la nuit se voile d’une dissonance parfaite ;
cherchant la raison de mon écho...