Glane aux heures de l'intrépide reconquis de la vie,
les brins de parfums non communs attirant l'appel de suc éternel,
aux régions pénètre des plus intenses aux murmures obscurs de l'être,
en communion symbiose d'un ciel enraciné de terre.
Glane aux instants de l'échéance aux dates marquant la vie,
les termes nus de bienvenue au cercle répété mais à chaque fois unique,
les termes en déluge se frottant jour pour jour après tout, après rien
et, terme final, la mort qui frôle le rôde épaule à la fin repue des faims.